Tristesse Dolympio

était là, assis sur ce banc, seul face à son destin. A aucun moment il n’a nié sa culpabilité. Face à lui se tenait une nuée de personnage qui allait décider de son avenir. Quand le juge lui annonça que la sentence était la mort, je ressentis de la tristesse, du chagrin, mais aussi de la colère pour cet homme qui semblait effrayé par l’idée de la mort. En toute franchise, je trouvais choquant et immoral, l’attitude et le comportement de certaines personnes dans la salle d’audience. Les juges avaient

je la tue a son tour j'ai refuser et je lui demander de participer a ma gloire. Elle a continué j'ai donc quitté la piéce par peur de prendre pitié j'ai constaté que les femmes avaient une capacité pour émouvoir les hommes. Je ressent une énorme tristesse de voir Sabine dans cet état. Aujord'hui lorsque j'ai vu mon pére devant le corps de Camille j'ai eu honte de mon crime et pour la première fois je l'ai regretté amèrement. Valère a demandé au roi que je sois puni pour le crime de ma soeur. J'ai

d'un mal, le poete se sent seul; "chere solitude" est l'appel que fait Alfred de Musset dans "Nuit d'octobre", maudissant celle qui l'a blessé. Enfin,le poete a peur qu'on l'oublie, ce qui le fait souffrir. C'est ce que Victor Hugo exprime dans "Tristesse Olympio", "d'effacer notre trace et d'oublier nos noms" est la peur qu'il a face à ses proches et à ceux qu'il a connu. La mort est présente dans de nombreux poèmes, qu'ils soient en hommage à un proche décédé, ou caractéristique de la mort future

monstrueux mélange entre la brame d’un cerf et le cri d’un éléphant, même si cette description ne me semble pas si proche de la réalité, je ne trouve pas trop de comparatifs pour l’exprimer. Ce cri était en tout cas inhumain, aigu et profond, d’une tristesse infinie et d’une agressivité sans nom... Et les coups contre la porte, et ce cri horrible, continuaient, sans relâche… sans la moindre trêve. J’étais terrorisé, je m’étais rabattu vers les oreillers du lit, et je les serrais d’ailleurs très fort

 De prime abord, l'extrait analysé, « Le repentir d'Yvain », montre que celui-ci est envahi par des sentiments négatifs. Yvain ressent beaucoup de tristesse lorsqu'il se rapproche de la fontaine. Le champ lexical du malheur : (« malheureux » (l.5), « affligé » (l.5), « douleur » (l.5) et « deuil » (l.26) ), témoigne de sa souffrance. Ces mots, employés tout au long de l'extrait, soulignent sa mélancolie. De plus, au moyen d'une hyperbole, il insiste sur l'étendue de son mal : « Il se clama mille

proche de quelqu'un et nous partageons un lien particulier avec eux, il peut être vraiment crève-cœur pour les perdre. C’est comme si une flèche a traversé votre cœur, déchirer tous nos sentiments et nos émotions en nous faisant sentir rien mais la tristesse et l'angoisse. Il est le pire sentiment que quelqu'un pourrait connaître. Je me souviens d’une histoire que mon frère m’a racontée. L’enseignant de mon frère lui a raconté cette histoire qui est arrivé à son ami. C’était une histoire triste. Cette

pas à dire ce qu'on pense, mais à penser ce qu'on dit» «Toutes les souffrances peuvent s'oublier si la peine est partagée avec des amis et que l'amitié la console» «Apprécie les personnes qui sont heureuses pour ton bonheur et triste pour ta tristesse, ce sont de vrais trésors»

pour la dernière fois, sa petite fille qui lui est si importante, regrette, malgrés tout de l'avoir revu. Il n'as plus vraiment de raison de vivre, et est donc pret à mourir. Toute cette peine ressentit par le condamné fait naitre en nous de la tristesse, et de la compassion, qu'il n'a, malheureusement pas, de la part de sa fille. Il y a beaucoup d'accumulations et d'anaphores, qui sont souvent utilisées dans le registre pathétique pour insister sur le triste sort du condamné. Il est décidement effacé

personnalité. Fasse à la situation, un même individu ne va pas réagir de la même manière. B-Les émotions. L'émotion est un réaction à un événement, positif ou négatif. La joie qui se manifeste par un rire. La tristesse → pleurer. La colère → crier. Le dégoût → Vomir. La peur → sursauter. La surprise → crier, sursauter. Il existe un lien entre l'émotion

par son mari. Elle a un trouble de l’humeur qui a causé la mort de son marie. On voit la bipolarité dans la lettre lorsque que la narratrice varie d’un sujet à l’autre. Hypersensibilité / Exagération des sentiments : Le narrateur éprouve plus de tristesse, de colère, de joie qu’une personne normal. Par exemple, parce que son mari l’a trompé et que l’hiver l’avait déprimé, elle a tué son mari. Elle réagit de façon exagérée. Alias rue Sésotris Intrigue : Dans un immeuble sur la rue Sésotris, tout le