Wenceslas Steinbock

animal, déteste sa cousine Adeline à cause de sa beauté et de son mariage avec le Baron Hulot d’Ervy, grand séducteur malgré son âge. Elle éprouve aussi une haine importante pour sa fille, Hortense, qui lui aurait volé son amoureux, le comte Wenceslas Steinbock, qu’elle a sauvé de la mort. Son but dans le roman est de parvenir à détruire cette famille, d’abord avec l’aide de Valérie Marneffe, sa voisine de palier et courtisane, avec qui elle s’allie pour séduire le Baron, puis de Célestin Crevel, amoureux

ne pourront peut-être pas marier leur fille, Hortense, qui ne pourra pas disposer d’une dot correcte. Hortense apprend plus tard que sa cousine, Lisbeth Fischer, une vieille fille, a pris sous son aile un jeune artiste polonais, le comte Wenceslas Steinbock. Elle parvient à le rencontrer et en tombe amoureuse. Ses parents vont alors tout faire pour marier les deux jeunes gens, en le cachant à la Cousine Bette. Lorsque celle-ci l’apprend, elle décide de se venger de la famille Hulot en s’associant

(avocat) sont les enfants du Baron Célestine et Victorin sont mariés Lisbeth Fischer, alias la cousine Bette, alias la vieille fille, alias la Lorraine, alias la Chèvre : Cousine d'Adeline Le couple Marneffe : Jean-Paul-Stanislas et Valérie Wenceslas Steinbock : artiste plébiscité par de nombreuses femmes Josépha : Cantatrice et maîtresse de plusieurs hommes Jenny Cadine : Maîtresse du Baron Comte et Maréchal Hulot : Frère aîné du Baron, il admire Adeline Baron De Montejanos : Amour de jeunesse de

s’acharnera au malheur de la baronne Hulot et de sa fille Hortense. Celle-ci a épousé le comte Wenceslas Steinbock, un réfugié livonien (polonais), orfèvre de métier, dont la Cousine Bette prétendait qu’il était son « amoureux » car elle lui avait porté secours. Dans sa rage, elle pousse une de ses voisines d’immeuble, Valérie Marneffe, une courtisane, dans les bras du baron Hulot d'Ervy, puis dans ceux du comte Wenceslas. La famille Hulot s’en trouve presque détruite, mais, alors que les manigances de Lisbeth

Fille de Célestin – Baron Hector Hulot et sa femme la Baronne Adeline – Hortense et Victorin sont les enfants du Baron – Célestine et Victorin sont mariés – Bette : Cousine d'Adeline – Le couple Marneffe : Jean Paul et Valérie – Wenceslas Steinbock : artiste plébiscité par de nombreuses femmes – Josépha : Cantatrice et maîtresse de plusieurs hommes – Jenny Cadine : Maîtresse du Baron – Comte et Maréchal Hulot : Frère aîné du Baron – Baron De Montejanos : Amour de jeunesse de Valérie

beauté de sa mère, ne se laisse pas décontenancer par cette situation. Elle apprend de Lisbeth, une vieille fille, cousine de la famille, que l'on appelle la Cousine Bette , que celle-ci a pris sous sa protection un jeune artiste polonais, Wenceslas Steinbock. Elle parvient à rencontrer le jeune artiste et est immédiatement séduite. Elle présente le jeune homme à ses parents, qui tombent, eux aussi, sous le charme. Le jeune homme n'a pas de fortune, mais Hortense est persuadée que son talent

personnage de d'une ​ vulgarité physique et morale extrême​ . Wenceslas STEINBOCK:​ Artiste polonais​ ​ . Il arrive en France à la suite de la révolution qui agite la Pologne. Réfugié dans une mansarde sinistre, il tente de se suicider mais il est ​ sauvé par Lisbeth Fischer​ .​ Bette se prend d'amour pour lui​ et décide de le mettre sérieusement au travail. En ​ épousant Hortense​ , puis en ​ devenant l'amant de Valérie​ , Wenceslas échappe à l'impérieuse Lisbeth, mais ce faisant, ​ il perd aussi

*Son origine Metternich est né à Coblence, dans l'Électorat de Trèves. Fils de François-Georges de Metternich, de la Maison de Metternich, et de la fille du comte de Kagenneck, il est le filleul et porte le prénom de l'archevêque électeur, Clément Wenceslas de Saxe, oncle des rois Louis XVI de France et Charles IV d'Espagne. Issu de la haute noblesse rhénane, il est envoyé à l'université de Strasbourg, le 12 novembre 1788, en compagnie de son frère, pour y étudier le droit. Là-bas, il rencontre Benjamin

Il donne des leçons et s’appelle Wenceslas. Les deux femmes se moquent encore d’elle. Lisbeth en rit mais dit quand même à Hortense : « Ces petites filles, avait dit la cousine Bette en regardant Hortense quand elle était revenue près d’elle, ça croit qu’on ne peut aimer qu’elles. » La jeune fille est prête à donner son châle de cachemire jaune si Bette lui prouve que ce n’est pas un conte. Lisbeth livre peu à peu des informations (104) le comte Wenceslas Steinbock vient de Livonie où son père s’est

cousine Bette, il en reçoit et de dures !… – Et son petit nom, est-il joli ?… – Wenceslas ! – Quelle imagination ont le vieilles filles ! s’était écriée la baronne. À la manière dont tu parles, on te croirait, Lisbeth. – Ne vois-tu pas, maman, que c’est un Polonais tellement fait au knout, que Bette lui rappelle cette petite douceur de sa patrie. Toutes trois, elles s’étaient mises à rire, et Hortense avait chanté: Wenceslas ! idole de mon âme ! au lieu de : Ô Mathilde… Et il y avait eu comme un armistice