Xénogreffe

​ : le greffon appartient au jumeau mono zygote du receveur, cas par essence rarissime. Allogreffe​ : le donneur et le receveur appartiennent à la même ​ espèce​ . C'est le cas le plus fréquent. Xénogreffe​ : le donneur est d'une espèce différente mais proche génétiquement du ​ receveur. Les xénogreffes sont pour l'instant essentiellement expérimentales. La première greffe au monde a eu lieu le 7 décembre 1905 par le docteur Eduard Zirm, Le donneur étant un jeune garçon de 11 ans. Les transplantations

appartient au vrai jumeau du receveur. Ce cas est très rare. • L’allogreffe : le donneur et le receveur appartiennent à l’espèce humaine. C’est le cas le plus fréquent. • La xénogreffe : le donneur est d’une espèce différente (espèce animale) mais proche génétiquement du receveur. A l’heure actuelle, les xénogreffes sont essentiellement expérimentales. • L’autogreffe : Le greffon appartient au receveur. Il s’agit essentiellement de tissus ou de cellules. II/ Pourquoi fait-on des greffes 

-l’autogreffe : c’est une greffe mais le donneur est le receveur. Le greffon provient du « sujet » lui-même. -l’allogreffe (ou homogreffe) : c’est une greffe faite à partir d’un donneur.  -la xénogreffe : c’est une greffe qui est organisée entre deux organismes d’espèces différentes. Par exemple, on dit qu’il y a une xénogreffe quand il y a une greffe d’un organe d’animal à un homme.

homme (jumeaux monozygotes exclus). La xénogreffe se définit comme une transplantation entre espèces différentes, par exemple de la souris au rat ou de l’animal (singe, porc …) à l’homme Greffe d’organes, de tissus, de cellules souches La greffe d’organes constitue une procédure thérapeutique lourde et complexe qui vise à suppléer le fonctionnement défaillant d’un organe. Elle concerne aujourd’hui l’allogreffe et peut-être demain la xénogreffe. Le dysfonctionnement de l’organe peut être

Isogreffe : le greffon appartient au vrai jumeau du receveur, cas par essence rarissime. • Allogreffe : le donneur et le receveur appartiennent à la même espèce. C'est le cas le plus fréquent. • Xénogreffe : le donneur est d'une espèce différente mais proche génétiquement du receveur. Les xénogreffes sont pour l'instant essentiellement expérimentales. 2 - Risques des greffes • Le risque de l'intervention est majoré du fait de la fragilité du patient receveur. Le principal risque est celui

receveur appartiennent à la même espèce entre 2 Hommes par exemple. C'est le cas le plus fréquent mais les antigènes sont différents il y a donc risque de rejet. * Une xénogreffe est une greffe où le donneur est d'une espèce différente mais proche génétiquement du receveur par exemple de la peau d’un porc sur un homme. Les xénogreffes sont pour l'instant essentiellement expérimentales et très controversée.

congélation et cryopréservation. 2- L’allogreffe L’allogreffe est une transplantation entre deux individus génétiquement différents mais de la même espèce, par exemple de souris à souris ou d’homme à homme (jumeaux monozygotes exclus). 3- La xénogreffe La xénogreffe se définit comme une transplantation entre espèces différentes, par exemple de la souris au rat ou de l’animal (singe, porc …) à l’homme. C- AVANTAGES ET INCONVENIENTS DE LA TRANSPLANTATION DE LA PEAU Greffes en filets

ou d’un organe ou le donneur et le receveur sont deux personnes bien distinctes et de la même espèce, avec un code génétique différent. C’est le cas le plus fréquent. Le donneur peut-être vivant ou décédé (état de mort encéphalique) Xénogreffe :La xénogreffe est pratiquée entre deux espèces différentes. Le donneur est d’une espèce différente mais proche génétiquement du receveur, par exemple de la souris au rat ou encore du singe à l’ homme . Nous sommes encore a la phase expérimentales, elle

Isogreffe : le greffon appartient au vrai jumeau du receveur, cas par essence rarissime. Allogreffe : le donneur et le receveur appartiennent à la même espèce. C'est le cas le plus habituel. Xénogreffe : le donneur est d'une espèce différente mais proche génétiquement du receveur. Les xénogreffes sont pour le moment principalement expérimentales. Autogreffe : le greffon appartient au receveur. Il s'agit principalement de tissus ou de cellules. IV. Système HLA

homme (jumeaux monozygotes exclus). La xénogreffe se définit comme une transplantation entre espèces différentes, par exemple de la souris au rat ou de l’animal (singe, porc …) à l’homme Greffe d’organes, de tissus, de cellules souches La greffe d’organes constitue une procédure thérapeutique lourde et complexe qui vise à suppléer le fonctionnement défaillant d’un organe. Elle concerne aujourd’hui l’allogreffe et peut-être demain la xénogreffe. Le dysfonctionnement de l’organe peut être