Action humanitaire
L’histoire de l’action humanitaire :
Les humanitaires : ceux qui travaillent dans l’humanitaire, fonction : faire carrière. Rony Brauman (un des fondateurs de MSF) : « l’action humanitaire est celle qui vise, sans aucune discrimination et avec des moyens pacifiques à préserver la vie dans le respect de la dignité, à restaurer l’homme dans ces capacités de choix » : s’adresserait aux victimes (bonnes et mauvaises, pas de discrimination), pacifiques (quand pays attaqué, bombes et nourriture : 2 visages), préserver la vie (sauver des vies, vieux fond civilisationnel) & dignité, choix, liberté (ne fait pas de l’homme un surhomme, ne garantie rien de la morale/juste ne plus être des bêtes malades).
Approche juridique : Cour de la Haye 1986 : les humanitaires désignent une aide alimentaire en médicament et en vêtements par opposition à la fourniture d’armes et de munitions, de véhicules ou matériels susceptibles de causer des dommages ou la mort. CONTESTABLE. Sarajevo : Montagnes autour, encercler, demande d’armes pour se protéger pour humanitaire, pour sauver des vies. Oui ou non armer les rebelles ? La guerre peut être juste ou pas ? Ryfman : l’action humanitaire est une assistance fournie par un seul ou une conjonction d’acteurs s’insérant à des niveaux variés dans un dispositif international de l’aide.
Valeur universaliste : tout homme est un homme, pour tout homme mais pas accepté par tous (par exemple, Chine et droit de l’homme). L’action humanitaire se base sur l’idéologie des droits de l’homme, s’applique à des hommes qui ont des conditions d’existence perturbées, sécheresse, tsunami ou par les hommes eux-mêmes : conflits. On pense que le droit et la morale ont le même centre, ce qui rend applicable la morale mais en vrai pas le même centre : le droit peut nous interdire des choses qui nous sont morales.
L’histoire : l’humanitaire s’est laïcisé et sécularisé (séparation Eglise/Etat), ne se réclame plus d’une pensée religieuse.