Analogie francais
Le poème de Joachim du Bellay : « Les antiquités de Rome » évoque le thème de la fuite du temps à travers différents éléments du texte. En effet, dans le premier quatrain, le poète parle d'un homme visitant Rome et qui ne peut observait que des ruines, il ne perçoit rien de Rome. Ensuite, dans le deuxième quatrain le poète fait allusion à sa puissance c'est-à-dire que Rome était la ville la plus puissante du Monde et qu'elle dominer toute la Terre. De plus, dans le vers de « Rome en Rome », le premier Rome présente la ville de Rome avant sa destruction. Donc l'Homme découvre une Rome détruite, anéantie. Enfin, dans le premier tercet, l'auteur décrit Rome comme un unique monument et montre la fuite du Tibre vers la mer, du fleuve vers la mer c'est-à-dire que le Tibre est seulement ce qui reste de Rome. Le Tibre appartient donc à Rome mais le Tibre est un fleuve donc de l'eau, c'est-à-dire qu'il n'est pas ferme, solide car ce n'est pas une construction alors que les bâtiments de Rome le sont. Donc, le fleuve n'est pas détruit par le temps puisqu'il fuit alors que les constructions de Rome sont détruites par le temps.
Le poème a un rapport avec le thème de la fuite du temps puisqu'il montre l'évolution de Rome au fil du temps.
De plus, l' Homme et ses constructions face à l'action du temps ne peut rien car ils sont figés par la nature qui a une évolution représentée ici par le Tibre qui oppose une résistance.
Pierre Corneille
Le poème de Pierre Corneille, intitulé « Marquise, si mon visage,,,, » expose les ravages du temps sur les hommes représentaient ici par une marquise. Le poète lui dit implicitement dans la première strophe qu'elle va devenir vieille donc il ne faut pas qu'elle fuit la réalité et qu'elle n'accepte pas de vieillir. ( même si cela n'empêche qu'elle puisse prendre soin d'elle et de son corps). Ensuite dans la deuxième strophe, P. Corneille parle des atouts de la