Analyse david hockney "gregory marchant"
C'est une superposition de morceaux de photographie de tailles différentes, coller de manière asymétrique d'un « Monsieur tout le monde » La trentaine, veste en cuir, jeans, parapluie a la main et sac de sport sur le dos. Il marche dans une rue goudronnée en pente avec en arrière plan un muret en pierre qui lui arrive au torse. Le photographe tente de nous montrer à travers sont œuvre ceux que l'ont aurait peut être pas vu sur une photographie et ceux que l'ont ne voit pas. Comme l'évolution dans le temps : le mouvement. Dans un dernier temps nous pouvons nous poser des questions sur la photographie elle même. Est ce qu'elle nous montre la réalité ? Si elle peut être trafiquait comme sur cette œuvre..
Ce photo-collage nous montre «un instant de tout les jours». Si un photographe le prendrait en photo, on verrais un homme qui marche mais pas un homme en train de marcher avec tout ce qui s'en suis : le regard dans le vague, le moment ou il baisse la tête, ect..
Et si l'ont ne voyait pas assez ce «Monsieur tout le monde» par l’œil du médium?
David Hockney nous montre alors cette homme en train de marcher à travers un photo-collage.
Cette œuvre peut faire penser à « Mes vœux » de Annette MESSAGER, ou il y a une accumulation de morceaux de corps que l'ont aurait peut être pas vu en voyant la photographie dans son intégralité, comme les narines, par exemple.
En effet, dans « Gregory marchant » on a des photographies de morceaux de corps à un instant, comme celle du pieds qui décolle du sol quand il marche ou du moment avant qu'il décline la tête que l'on aurait peut être pas vu si l'ont avait seulement la photographie de cette homme qui marche.
Sans cette superposition de photographie, cette œuvre rendrait-elle compte du corps dans le temps et son évolution?
Ce photomontage, décortique le mouvement de cette homme en train de marcher. Comme si la photo ne montrait