Analyse Du Poe Me
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Le poème Spleen LXXVIII a été publié par Charles Baudelaire en 1857. Il est le dernier des quatre Spleen poèmes. Le spleen se présente comme un malaise existentiel. Le poème mélange les conditions de celle-ci sur le physique et les sens. Baudelaire utilise les métaphores pour faire la comparaison entre le monde et la prison ; après la tonalité morbide de ce poème, il se termine par un enterrement. Baudelaire nous propose une description du Spleen en racontant un combat entre l'espérance et l'angoisse.
Le texte lui-même se compose de douze syllabes dans chaque vers (Alexandrine) et quatre vers dans chaque strophe (un quatrain). Il y a un total de cinq strophes et la rime du poème est croisée. Les seize premiers vers commencent avec une seule et même phrase. On voit que « Quand » est remplacé par « Tout a coup ».
On pourrait dire que Spleen LXXVIII est le plus angoissant, délirant et dément par rapport aux trois premiers Spleen poèmes parce qu’il monte une nature très hostile. Les trois premières strophes se concentrent sur trois éléments principal : le ciel, la terre et l’eau (la pluie). Par exemple, avec le description d’un temps d’orage on voit que « le ciel bas et lourd », « la terre est changé en un cachot humide » et « pluie étalant ses immenses traînées ». Baudelaire se forme l'image d'un ciel nuageux et une pluie forte. De plus, Baudelaire utilise l’outil littéraire personnification pour décrire le temps d’orage : « un jour noir », et son du tonnerre « un affreux hurlement » l’orage gronde et effrayant. Ce temps est une charge déprimante et il reflète la nature déplorable du poème.
Baudelaire aussi fait une tonalité grave avec l'utilisation d’une métaphore de la prison. La première strophe monte la sensation d’enfermement, par exemple avec la comparaison « comme un couvercle », et « l’horizon embrassant tout le cercle ». Baudelaire a fait l’impression d’être dans un lieu fermé. Quand d’habitude le horizon évoque