Analytique d'un financment bancaire
Dans cette article on peut comprendre que d’autre étude on été réalisé auparavant notamment l’étude de JOHN LINTNER en 1956 avec l’analyse de la politique de dividende, d’ailleurs les résultats sur cette étude son encore citée aujourd’hui. Mais dans cet article, l’étude réalisé différent des études précédentes en effet la porté de cette étude est plus vaste. On peut comprendre ici que l’étude ce porte plus précisément sur la budgétisation des investissements, le cout du capital et la structure du capital.
Afin d’arriver aux meilleurs résultats ils ont utilisés les questionnaires (anonyme pour obtenir des réponses franche) qui on été envoyés a beaucoup d’entreprises de toute taille aussi bien les grandes que les petites. Les résultats (environ 9% de taux de réponse) ont ensuite été analysés par des spécialistes.
Tout d’abord l’article parle de la budgétisation des investissements, c'est-à-dire comment les entreprises évaluent leur projet ?
Dans les enquêtes précédentes, on affirmé que la méthode utilisé par les grandes entreprises était le taux de rendement interne (TRI) Par exemple, Gitman et Forrester (1977), dans leur étude de 103 grandes entreprises, constate que seulement 9,8% des entreprises utilisent la valeur actualisée nette comme méthode principale et que 53,6% utilisent le taux de rendement interne. Stanley et Block (1984) constatent que 65% des répondants déclarent que pour évaluer la rentabilité de leur projet ils utilisent le taux interne de rendement.
Mais les études faites pour cet article diffèrent des enquêtes précédentes. Les différences des résultats obtenue est à cause que les précédents analyses étaient axé sur des grandes entreprises, de plus pour cette article ils ont utilisés un échantillon beaucoup plus important.
Dans cette article suite aux réponses du questionnaire (« 0 » utilise jamais à « 4 » utilise toujours) on peut constater que l’utilisation du TRI ou de la VAN différent selon les différentes