André compte-sponville « un besion de règles, de contraintes, et d'interdits »

370 mots 2 pages
L’article d’André Compte-Sponville « Un besion de règles, de contraintes, et d'interdits », examine les effets que les institutions ont sur la jeunesse. Les institutions sont les structures et les mécanismes de l'ordre social d'une collectivité humaine qui se composent de d'un ensemble d'individus. Son article envisage la violence dans les écoles et le rôle des institutions de l'éducation dans le conditionnement de la jeunesse.

Sponville apporte ses affirmations à partir des philosophes comme Immanuel Kant et Jean-Jacques Rousseau. Il commence en disant « on ne nait pas libre, on le devient», qui est une référence à la philosophie de la liberté de Rousseau. Dans « Du contrat social, ou Principes de droit politique » (1762), Rousseau explique que des individus autonomes abandonner leurs libertés naturelles pour former un gouvernement «contrainte» pour protéger leurs vies et leurs biens. Ils sont d'accord sur des règles, pour être appliquées à cause du gouvernement qui leur permettra de bénéficier d'une sécurité raisonnable et bien-être. Essentiellement, le droit civil nous permet d'être complètement libre car elle est l'arbitre entre nos libertés civiles et naturelles.

Sponville impliques également Kant, qui était déranger à propos du concept que la liberté a été fondée sur l'idée de la liberté transcendantale. Donc, Sponville demande : commont demander un enfant qu'il réinvente vingt mille ans de civilisation. Il souligne que la croyance est passée de génération en génération à travers des institutions comme la famille et l'idée de la tradition et l'éducation.

Essentiellement, Sponville statue que le principe d'une éducation est d'obtenir la capacité d'appliquer ses connaissances à déduire leurs propres idées. Descartes explique, dans «Discours de la méthode de verser Bien conduire sa raison, et chercher la vérité dans les sciences» (1637), que la première étape dans la pensée critique est de ne jamais accepter quoi que ce soit pour vrai que l'on ne

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