L’éducation est un sujet de grande importance puisque que c’est celle-ci qui assure le développement de nos futurs citoyens. Ce sujet a été abordé par Antoine Baby, professeur retraité de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université Laval. J’ai aimé la conférence de monsieur Baby et est d’accord avec certains éléments que celui-ci a soulignés lors de sa conférence.
Cet homme mène un combat contre l’utilitarisme dans l’éducation et souhaite que la société adhère à une éducation plus humanisme. Sa conférence m’a permis de constater plusieurs défauts dans notre système d’éducation, mais je ne suis pas complètement en accord avec tous ses propos. La section de son discours que j’ai le plus apprécié est lorsqu’il a parlé du problème des formations spécifiques et qu’il était plus avantageux d’avoir une formation plus générale en milieu scolaire. En effet, monsieur Baby souligne que le système scolaire, surtout aux niveaux collégial et universitaire, offre des formations trop spécifiques aux étudiants ce qui a comme conséquence de les rendre moins « recyclable » si dans le futur leurs emplois et leur domaine étaient supprimés. Afin d’appuyer ses propos, l’auteur utilise comme exemple que des études montrent qu’un grand nombre de métiers liés à la manufacture disparaîtront d’ici 2020 à cause de nouvelles inventions telle l’imprimerie en trois dimensions. Face à ce problème, monsieur Baby défend qu’il est important pour le système d’éducation de notre société d’offrir des cours plus généraux qui permettront aux étudiants d’acquérir des connaissances et de l’expérience qui ne les limiteraient pas à un seul métier. J’ai été particulièrement intéressé par cette partie de la conférence car les problèmes que l’auteur souligne peuvent être liés à des événements concrets comme les fermetures des usines de pâtes et papiers ou à la relocalisation de grandes usines dans des pays en développement, ce qui a comme conséquence que les gens travaillant à ces endroits soient