* INTRODUCTION * Association de la ℓ et de l’esthétique.
L’esthétique : nom qui a rapport avec le beau/ référence à la grâce, l’harmonie + technique.
La notion du beau : caractère de ce que devrait être l’esthétique.

18e siècle → Les ℓ veulent déterminer des jugements de valeurs et une norme du beau. * Le ℓ BANGOUTEN introduit le terme « esthétique » = La valeur d’un objet réside dans sa capacité à fournir une réaction forte. * L’esthétique est une théorie non de la beauté mais du jugement qui prétend évaluer avec justesse si beau ou laid.
L’expérience esthétique découle de ce que l’homme fait de son expérience avec le monde qui l’entoure + objets → expérience véhiculée par PERCEPTION
Exp = nombreuses et variées avec ≠ objets.
NAIS pour le ℓ objet important = OBJET D’ART
L’esthétique selon ℓ = établir qualité et principe d’un objet qu’il faut comprendre comme beau.

* L’expérience esthétique
Théorie relativiste : * Si on parle d’Exp esthétique on parle d’expression des sens. Mais problème : le jugement de valeurs = subjectif.
Théorie Universaliste : * Le jugement esthétique est valeur de vérité car se réfère aux caractéristiques propres d’un objet.
3e position ; synthèse des deux premières : * L’Exp esthétique = subjective. On ressent avec des jugements de valeurs perso CEPENDANT Exp peut être déterminé par valeur esthétique de l’objet. * → la perception de l’homme reconnait qualité objet mais les traduits, les remplaces suivant le contexte et valeurs. Une œuvre d’art n’existe pas en soi mais parce que l’on la désigne comme telle. L’évaluation esthétique s’appuie sur des critères relatifs aux époques et sur les caractéristiques propres de l’objet. L’appréciation et l’évaluation de l’Exp esthé suppose une connaissance intellectuelle qui contribue à former goûts. Apprentissage culturelle = NECESSAIRE

* Jugement et sentiments ; point de départ de la perception
Un jugement peut être juste ou non ; résulte de la