Le 20 mars 1890,
A l’intention de Mr René Doumic, rédacteur à la rubrique littéraire de la gazette national.

J’ai lu l’article du 14 mars que vous avez publié dans la gazette national concernant mon livre, La Bête Humaine. Savez que je suis écrivain et que je connais mon métier ? J’ai écrit de nombreux livres qui ont tous fait un succès auprès des lecteurs. Je ne pense pas qu’une seule personne telle vous est capable de m’apprendre le métier que je pratique depuis des années.
Savez-vous que je suis le chef de file du naturalisme ? J’ai notamment écris un livre sur les principes de ce mouvement, peut-être l’avait vu lu, son titre est Le roman expérimental. Il a été publié en 1880.
J’écris depuis longtemps sur des sujets que je connais parfaitement, pratiquement tous mes livres sont basés sur des faits pouvant être réelle.
Et vous qui êtes vous ? Vous n’êtes qu’un rédacteur parmi tant d’autre qui écrit dans une grande gazette, certes mais vous ce que vous écrivez n’a aucune valeur pour de moi.
Mon livre est une œuvre colossale qui mise sur la diversité et la quantité laquelle permet de compléter la diversité de mon livre. Les détails sont peut-être parfois un peu trop nombreux mais ils donnent beaucoup de précision et de description ce qui permet de mieux situer le lieu du passage du livre que nous lisons.
Vous mentionnez aussi dans votre critique que « je jette une action donné aléatoirement » ce qui est totalement puisque je décris très précisément les lieux présents dans mon histoire.
Les personnages présentés dans mon livre sont réaliste, en effet chaque lecteur peut s’identifié à un des nombreux personnages. Mon livre mêle tous les sentiments comme la violence, l’amour et la haine. Roubaud ressent ces trois sentiments à la fois puisque il est pris d’amour pour Séverine, il hait et veut tuer Grandmorin.
Les descriptions de chaque personnages permet de nous faire pénétrer dans l’âme humaine, de ressentir ce que chaque personnages ressent, de partager