BAC 4
traduit en français moderne
Montaigne (1533-1592) a été un magistrat, homme politique homme d'une seule œuvre, « les essais » rédigé entre 1570 et 1588 œuvre importante et imposante (1300 pages) en 3 livres très variés dans leur formes : raconte evênements, observation politique et militaire, aborde des faits philosophique (mort, amitié, éducation) et également œuvre autobiographique = grandes variétés de sujet et de ton aussi, parfois léger ou très grave tout premier essai fondé.
Dans cet extrait, réflexion originale sur le rapport de l'homme à la mort
I) La dénonciation des pratiques du vulgaire
texte débute par un constat (l1) : d'après M, si on vit dans la peur de la mort on ne vit pas.
Peur de la mort = maladie (fièvre = méthaphore) ici réfléchis aux remèdes de cette « fièvre » = méthaphore filée – ne pas y penser, se divertir (théorie de l'aveuglement l5, tjrs la mais on ne le voit plus) parle d'aveuglement : question rhétorique, voc négatif + l6 pb de l'âne : comme si on prenait le pb à l'envers = avancer à reculons (l8) critique le vulgaire qui se contente d'être ce qu'il est l 10 à 14 : ne veulent pas penser à leur testament, s'en préocupe au dernier moment le 15-16 n'ose le nommer = se moque d'eux périphrase pour adoucir l 17
= solution insatisfaisante ne permet pas d'éviter le pb.
l 21 ajoute un avis personnel (autobiographique) fait semblant d'adopter le point de vue du vulgaire mais le réfute car pour lui ce n'est que folie. (l26) l 26 : « Mais » à partir de la exprime sa thèse et non celle du vulgaire le 26-29 contre argument (jeunes et vieux peuvent mourir et mouriront un jour) utilisation d'en outre l 31 ouvre le dialogue avec tutoiement
M heureux de sa vie, n'en demande pas d'avantage car on ne sait pas quand ce sera la fin l 35 connaissance persos, l 37 généralisation à plus grand dénonce le vulgaire, explique que la mort est inéluctable =