Baudelaire
• Dédoublement du poète qui fait de sa douleur une entité à part entière, personnifiée par : - la majuscule : Douleur - la relation étroite qu’il entretient avec sa douleur :Ô, tu...
La progression ascendante du rythme renforce l’idée d’impatience flagrante de la Douleur.
• Promesse d’un apaisement se traduisant par des vers ternaires, plus équilibrés et qui confèrent aux vers un certain équilibre.
• On se trouve dans un paysage urbain cher à Baudelaire, qui est le poète de la ville.
• La dichotomie renforce la séparation nette entre les catégories de personnes telle qu’a pu être Baudelaire ou encore le lecteur.
II. Deuxième strophe
• Vers 5 à 7 : vers faibles, très instables qui traduisent un bonheur factice.
• Vers 8 : rythme ternaire, montrant que le poète a pris ses distances avec la fête et qu'il apparaît comme un moralisateur : pour lui, le plaisir implique l’esclavage (vocabulaire : fouet, barreau, servile)
III. Troisième strophe
• Utilisation de l’impératif à tranquillité de la Douleur puisqu’il ne s’agit plus d’ordre mais de propositions.
• Le paysage est à moitié abstrait et concret : paysage qui parle à l’âme, contemplation du passé : défuntes Années, Regret.
Remord = culpabilité d’y être allé
Regret = non coupable mais regret de ne pas y être allé.
IV. Quatrième strophe
C’est une strophe idéaliste avec une promenade en bord de Seine. Le coucher de soleil -> apparaît comme la métaphore de la mort.
La nuit s’est fait attendre et la répétition du verbe « entendre » traduisent une délivrance pour le poète et sa douleur qui sont maintenant égaux et se sont rapprochés: "ma