Bergson commentaire texte

883 mots 4 pages
Intro : bergson introduit sa reflexion sur l’idée et le mot sur le langage et la société par deux questions ; la 1ere portant sur l’origine, le passé de l’idée, la seconde sur la portée, l’avenir du mot. Puis il établit, très rapidement, le lien entre vie sociale et langage d’où la problématique : quelle est la fonction des mots ? Une société peut-elle exister sans langage ? De la ligne 2 à 9, l’auteur montre que le langage est le propre de l’homme. De la ligne 10 à 19 Bergson établie le langage comme le ciment de la société. Enfin de la ligne 20 à la fin du texte, il fait le lien entre langage et action dans la vie sociale.

Bergson réfute que le langage est une convention, rempli de mots résultant d’un accord entre les hommes. Au contraire il pose la vie sociale comme innée, fruit de la nature c’est-à-dire universelle et l’absence de règle.
De la ligne 2 à 9, Bergson montre que parler, et donc utiliser les mots, est part de la vie sociale. En effet il n’y a pas de vie sociale sans langage ; on a besoin du langage pour vivre en société. Pour lui la vie sociale n’est ni acquise ni transmise. Elle serait donc innée ainsi que le langage. Il explique cette théorie en comparent l’homme et la fourmi. Telle la fourmi née pour atteindre son but de fourmi et accomplir sa tâche de manière parfaitement répétitive sa vie dans sa fourmilière, l’homme accomplit de manière innée sa tâche dans la cité. La place de la fourmi dans la fourmilière, son rang hiérarchique, les tâches qui lui sont imparties sont automatiques. La fourmi ne se pose pas de questions. Elle agit, comme cela se doit, comme l’ont et le feront toutes les fourmis. Le rôle de l’homme dans la société est de procréer, éduquer, transmettre, travailler pour subvenir à ses besoins, aimer, conquérir. De tout temps l’homme a poursuivi les mêmes buts, à l’équivalent de la fourmi. Par contre, les moyens de l’animal « font partie » du corps qu’il utilise pour atteindre le but auquel il est assigné alors que l’homme

en relation

  • columbo
    848 mots | 4 pages
  • Dejeuner en fourrure meret oppenheim
    1315 mots | 6 pages
  • les paradigmes du droit pénal
    10668 mots | 43 pages
  • Ecriture d'invention sur "la fourmi" à la manière de michelet
    514 mots | 3 pages
  • Mrs dalloway,bergson ,nerval
    275 mots | 2 pages
  • Concentration dans l'industrie chinoise
    4197 mots | 17 pages
  • Commentaire bergson
    2607 mots | 11 pages
  • Fiche de lec
    1355 mots | 6 pages
  • Bergson : commentaire de texte
    2201 mots | 9 pages
  • Le bestiaire médiéval
    4210 mots | 17 pages
  • Bergson - Commentaire
    731 mots | 3 pages
  • Explication de texte de philosophie
    480 mots | 2 pages
  • Bergson - explication de texte
    1414 mots | 6 pages
  • Rire facteur de cohésion social ?
    744 mots | 3 pages
  • Les morales des fables de la fontaine
    2958 mots | 12 pages