Bilingualism
Quand on parle de l’acquisition du langage, l’idée la plus répandue est que cela commence à avoir lieu vers l’âge de deux ans (théorie de la période critique de Lenneberg, 1967), pour la première langue apprise. Au contraire, pour les personnes qui apprennent une langue à partir de sa puberté, cet apprentissage serait plus lent et difficile, et ils ne réussiraient pas à avoir une fluidité pareille à celle des natifs. Pour commencer, il faut préciser que le langage n’est pas quelque chose qui habite dehors nous-mêmes, mais dans notre cerveau. C’est pour cela qu’on a donné beaucoup d’importance aux études concernant la partie du cerveau où le développement d’une langue a lieu. Brainglot est un exemple d’association qui étude cette acquisition. Ce groupe, intégré par linguistes, psychologues, physiques, médecins, informatiques, etc., fait des recherches sur comment le langage humaine est acquis, les bases neuronales du traitement du langage des personnes bilingues, la relation entre ce phénomène et le reste de nos habilités cognitives, ainsi que les différences positives et négatives que cette deuxième langue a dans nos cerveaux. Selon eux, les personnes bilingues utilisent plus de zones du cerveau quand ils confrontent une tâche linguistique, surtout de l’hémisphère gauche (celui qui comprenne le langage). Au contraire, les monolingues utiliseraient moins de zones du cerveau et son processus linguistique serait plus rapide, mais également efficient. Par contre, car les personnes bilingues utilisent d’autres zones du cerveau, ils auront développé d’autres capacités cognitives, par exemple, l’adaptation au changement des tâches. Pour approfondir dans l’idée de la cognition, il faut expliquer qu’avec ce mot là on fait référence aux procès mentaux comme la mémoire, l’attention, le langage, la perception, la résolution de problèmes ou la planification. Dans ce contexte, Nuria Sebastián-Galles affirme que la différence cognitive entre