Biologie cellulaire
Autotrophe/ hétérotrophie
C'est le russe Serguei Winogradsky (1856-1953) qui a initié cette notion (littéralement « capacité de se nourrir seul ») comme aptiude d'un être vivant à crôitre à partir de matiére minérale, présente dans l'eau, dans l'air et le sol.
La nutrition autotrophe concerne d'abord le carbone et son obtention dans l'environnement.
Ensemble des réactions chimiques dans une cellule = métabolisme cellulaire.
Métabolites sont à la fois substrat et produit de réacction enzymatique. L'enzyme est une proteine et catalyseur biologique.
L'enzyme catalyseur biologique est spécifique : du substrat reconnaissance et association transitoire par complémentarité spatiale des structures D. vitesse de réaction est fonction du substrat mais atteint un plateau lorsque toutes les molécules d'enzyme sont complexées.
Mesure de l'affinité de l'enzyme pour son substrat : Km = Vmax/2 (constante de Michaelis)
Réaction qui atteint une vitesse max, donc plus la concentration est faible, plus le Km est faible.
Elle est également spécifique à une réaction catalysée.
Ex : le Bêta-galactosidase casse les liaisons B1-4 entre sucre du lactose → hydrolyse, spécifique du substrat et de la réaction.
L'enzyme possède un site actif = siège (qqs Aas) de la spécificité de réaction. Comprend une région de reconnaissance du substrat + une région catalytique de la réaction proximité.
Une enzyme peut contenir des région non-proteiques (ex: enzymes transférent des atomes ou groupes d'atomes d'une molécule à une autre) : partie proteique = apoenzyme partie non proteique = co-enzyme (donneur ou accepteur d'atome).
Dans un organisme vivant et les cellules qui le composent, les réactions enzymatiques se succèdent = voie métabolique.
→ voies cataboliques : dégradation de molécules
→ voies anaboliques : - production de la bionergie, - biosynthèse des molécules organiques