BOULE DE SUIF – Résumé 1

Le conte commence par une description riche d’une partie de l’armée française qui vient d’être vaincue par l’armée prussienne pendant la guerre franco-prusse. L’armée est épuisée: “tous semblaient accablés, éreintés, incapables d’une pensée ou d’une résolution…” En plus, on décrit les ‘franc-tireurs’, des soldats qui n’appartiennent pas à l’armée officielle, aussi sans régiment, dont les chefs sont les anciens commerçants qui ont leur position dans cette armée partisane grâce à leur richesse. La description d’eux devient un peu sarcastique: “…et prétendaient soutenir seuls la France agonisante sur leurs épaules de fanfarons…” et on comprend que ces gens vaniteux et insincères appartiennent probablement à cette catégorie de la société que l’on appelle ‘la Bourgeoisie’. Il y a aussi une description triste de général de l’armée qui ne peut pas comprendre comment il a été battu: “désespéré … éperdu lui-même…”

On attend l’arrivée de l’armée prussienne et la ville, qui s’appelle Rouen, devient calme et presque silente. On a entendu parler des allemands, qui ont une renommé terrible et brutale, et les habitants de Rouen ont peur de ce qui va se passer.

L’entrée des soldats allemands en ville est entièrement différente à celle des soldats français: “… qui faisaient sonner les pavés sous leur pas dur et rythmé…”, et ce contraste souligne les différences entre les deux peuples. En fait, les allemands ne sont pas des barbares et se comportent d’une manière polie et élevée. Ils logent chez les français, ce qui est normal en temps de guerre, et deviennent presque des amis: “l’Allemand demeurait plus longtemps … à se chauffer au foyer commun…”, à part quelques meurtres et une atmosphère étrange dans les rues, où les allemends grouillent.

Rouen est une ville commerciale et le commerce recommence de nouveau. “Quelques-uns” veulent voyager au Havre sous le prétexte du commerce et, grâce aux bons rapports entre les français et les