brouillon

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Troisièmement, il ressort clairement de la nouvelle analysé que l’écrivain propose une vision saisissante de la réalité. D’une part, il est évident qu’il y a une grande importance du paraitre dans cette société matérialiste. En effet, l’utilisation d’une accumulation par l’auteur illustre une amplification de la richesse de madame Forestier et l’émerveillement de Mathilde devant ces magnifiques trésors : «Elle vit d’abord des bracelets, puis un collier de perles, puis une croix vénitienne, or et pierreries.» Malgré cela, madame Loisel continua de demander d’autre bijou a son amie de peur de ne pas avoir bonne allure ou bien d’être ridiculiser au bal du ministère : «elle essayait les parures devant la glace, hésitait, ne pouvait se décider à les quitter, a les rendre. Elle demandait toujours.» Ainsi, la craintes d’avoir L’air misérable ou l’air pauvre autours de ces bourgeois matérialités démontre une certaine compétition ou rivalité du genre féminin a toujours vouloir être la plus élégante, a être celle qui attirera le regard des hommes fortuné. D’autre part, on peut aussi constater la triste réalité des femmes de l’époque. Il est en effet possible de relever a travers le texte, la présence d’un champ lexical de la tristesse («malheureuse», «misère», «torturaient», «indignaient», «regret», «chagrin», «désespoir», «détresse») qui traduit de façon évidente la peine de Mathilde. L’accumulation de la souffrance de madame Loisel («chagrin», «désespoir», «regret», «détresse») renforce et permet de mieux percevoir un certain attristement et exaspération des femmes de l’époque qui n’avait aucun moyen de sortir de leur vie médiocre des petits bureaucrates telle que Mathilde. C’est alors qu’on comprend que Madame Loisel est irriter de vivre la vie de petite bourgeoise car, elle ne pourra jamais obtenir de nombreux bijou comme son amie, ni une magnifique demeure la représentant : «Elle souffrait de la pauvreté de son logement, de la misère des murs, de l’usure des sièges, de

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