Californie (incomplet)
Le pessimisme est de mise: selon certaines estimations, deux milliards de personnes vivront dans des régions où l’eau sera insuffisante en 2025.
Nombre d’entre elles font aujourd’hui déjà partie des zones les plus pauvres du monde. La situation pose d’importants défis à l’humanité.
Mais elle n’est pas désespérée car la recherche de solutions avance.
Les plantes consomment de l’eau
Les plantes absorbent le gaz carbonique (CO2) présent dans l’air. Grâce à l’énergie solaire, la plante transforme ce CO2 en tissus végétaux – principalement en carbone – tout en libérant de l’oxygène (O2). Mais quand la plante ouvre ses «fenêtres», il n’y a pas seulement du CO2 qui rentre, mais aussi de l’eau qui s’échappe dans l’atmosphère sous forme de vapeur d’eau, ce qui signifie que la plante «transpire» et perd de l’eau (H2O). La «consommation d’eau» d’une plante par la transpiration dépend principalement de la température et de l’humidité de l’air. Ce qui implique que les plantes d’une région sèche, où l’humidité de l’air est faible, laissent échapper beaucoup plus d’eau que des plantes d’une région très humide. SI l’on trouvait un moyen de recueillir la vapeur d’eau dégager des plantes, alors on aurait accès à une petite partie du manque d’eau
Gestion intégrée des ressources en eau (IWRM)
L’IWRM est une approche globale tenant compte des aspects écologiques, sociaux, institutionnels et économiques de bassins versants, considérés dans leur ensemble, pour une utilisation durable de l’eau. L’approche IWRM essaie de relier les quatre types de consommation de l’eau, «l’eau pour l’homme», «l’eau pour la production alimentaire», «l’eau pour la nature» et «l’eau pour d’autres utilisations».
D'autres suggèrent que le nom « California » aurait un rapport plus étroit avec les premiers colons espagnols qui, lorsqu'ils y arrivèrent par les régions du Sud, trouvèrent la contrée « chaude comme un four » (cali = chaud, fornia = four). Mais