Candide ab c daire
Cacambo : Cacambo deviendra le fidèle intendant de Candide. Comme la Vieille, Cacambo fait partie des premiers personnages de l'histoire à exprimer des idées rationelles. Ayant plus d'expérience que lui, il apporte beaucoup d'aide à Candide. Son nom, d'ailleurs, révèle de son origine métis et de ses racines populaires. Voltaire le dit explicitement au début du chapitre 14 : "C'était un quart d'espagnol, né d'un métis dans le Tucuman;[...]" Il est chargé d'expérience et constitue par là l'équilibre avec les hallucinations de Pangloss. Dans la citation précédente : "il avait été enfant de choeur, sacristain, matelot, moine, facteur, soldat, laquais." Cacambo rappelle Candide à la réalité par de petites phrases nourries d'expérience.
Candide : « Candide » est le titre de ce conte philosphique, mais il est aussi le héros du livre. Voltaire nous-le décrit comme un personnage peu crédible et assez naïf avec notamment cette citation « Sa physionomie annonçait son âme ». Candide est un protagoniste qui ne pense jamais par lui-même, il cherche toujours conseil auprès d'autres personnes. Candide aime passionnément la belle Cunégonde, la fille du baron de Thunder-ten-trockh, mais seulement pour ces atouts physiques.
Cunégonde : Cunégonde est la fille du baron de Thunder-Ten-Tronckh. Elle est la cause de l'expulsion de Candide du paradis terrestre. Elle séduisait plus Candide par ses attraits sexuels (elle était fraîche, grasse, appétissante, haute en couleurs...) plutôt que par son intelligence. C'est pour sa joliesse que Candide l'aimait mais à la fin, elle deviendra laide et Candide n'éprouvera plus aucun sentiment pour elle. Elle deviendra « une excellente pâtissière » pour lui. On peut remarquer qu’elle manque souvent de sens moral mais c’est sans doute ce qui lui permet de traverser toutes ces péripéties.
Déisme : C'est la religion de Candide et celle de Voltaire. Le déisme ce base sur la croyance en un Dieu qui est le créateur de l’univers. Mais ce