Candide
La satire de la religion dans Candide
Candide est un roman philosophique écrit par Voltaire en 1759. L’histoire raconte le voyage du jeune Candide réfutant la théorie de Leibniz tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. Dans ce roman Voltaire dénonce par la satire l’autorité religieuse ainsi que son avidité et sa nuisance aux autres. On va voir que les religieux sont hypocrites Et leurs abus de pouvoir.
(Chapitre 3 : l.32): « qu’on y était chrétien, il ne douta pas qu’on ne le traitât aussi bien » préjugés sur les chrétiens considérés comme bons aux yeux du naïf Candide. Or arriver en Hollande ou il fait la quête on lui dit que son acte mériterait qu’on « l’enferme dans une maison de correction pour lui apprendre la vie » (chapitre 3l.38) son hypothèse comme quoi on le traiterait bien se révèle complètement faux. « Un homme qui venait de parler tout seul une heure de suite sur la charité » (chapitre 3 l.40) interroge alors Candide sur l’Antéchrist et refuse de lui donner son pain parce que Candide ne sait pas quoi répondre. L’attitude de l’homme est paradoxal, il parle de charité et la refuse à Candide a cause de sa religion. Candide et Pangloss qu’il retrouva en Hollande furent sauvés par un anabaptiste du nom de Jacques. L’Anabaptiste qui est bon et qui sauve la vie d’un homme meurt noyé a cause de se dernier sous son regard indifférent (chapitre 5)
Alors que Pangloss et Candide sont à Venise au moment du tremblement de terre « un petit homme noir, familier de l’Inquisition » (chapitre 5 l.77) arrêta Pangloss et Candide « L’un pour avoir parlé, l’autre pour avoir écouté avec un air d’approbation » (chapitre 6 .11/12) Voltaire dénonce le pouvoir de l’Eglise(ici, privation de liberté d’expression) qui peut se permettre de tuer des personnes s’ils ne sont pas d’accord avec la religion chrétienne ainsi que le fanatisme par cette antiphrase a la fois ironique « un bel autodafé » et « le spectacle de quelques personnes