Cas pratique vices du consentements droit civil
L'avocat réclame à présent 8000 euros convenue dans la convention d'honoraire conclu avec l'intéressé. Ce dernier trouve la somme réclamée trop élevée. Il indique que lorsque son avocat lui a demandé de signer la convention d'honoraires, il était bouleversé parce que son épouse venait de lui annoncer son intention de divorcer. En outre l'avocat lui avait affirmé que s'il ne signait pas, il serait contraint d'arrêter la procédure qui ne pourrait pas être reprise ultérieurement en raison de l'expiration des délais de recours.
Question: Quelles sont les actions que peut engager M.Céci contre son avocat afin d'éviter d'avoir à lui payer la somme de 8000 euros?
En l’espèce, M Céci, a conclu un une convention d’honoraire avec son avocat pour que ce dernier le défende dans une affaire contre l’un de ces fournisseurs.
A la formation de la convention l’avocat demanda 1 000 € pour débuter la procédure. Puis, lorsque l’affaire fut réglée ce dernier lui réclama cette fois 8 000€.
Mr Céci trouvant la somme trop élevée va essayer d’intenter une action contre son avocat qui selon lui l’aurait « menacé » que « s’il ne signait pas, il serait contraint d’arrêter la procédure qui ne pourrait pas être reprise ultérieurement en raison de l’expiration des délais de procédure.
La question est de savoir quelle action peut engager M.Céci contre son avocat afin d’éviter d’avoir à lui payer cette somme ?
Le code Civil sanctionne dans le domaine des contrats tous vices du consentement et notamment celui de la violence, du dol et de l’erreur.
Dans le cadre de notre affaire, il