Comment traiter un avc
Ils peuvent dépendre d'une des 3 artères vascularisant le cervelet
• L'artère cerébelleuse postéro-inférieure (PICA)
• L'artère cérébelleuse antéro-inférieure (AICA)
• L'artère cérébelleuse supéroeure (CSA)
L'infarctus cérébelleux est cliniquement trés proche du syndrome de Waldenberg mais associe une ataxie et de quelques troubles typiquement cérebelleux orientent le diagnostic vers une atteinte du cervelet que la résonnance magnétique doit confirmer.
CAT
Hospitalisation, Scanner et IRM
En résumé, la survenue d'un grand vertige rotatoire associé à des céphalées postérieures et à d'important troubles de l'équilibre doit faire évoquer une accident vasculaire cérébelleux notamment s'il existe un terrain prédisposé : HTA, troubles du rythme cardiaque, asthérosclérose,...
Le pronostic vital peut être engagé à trés court terme. L'hospitalisation en urgence est indispensable.
Il représente un risque vital majeur : l'œdème consécutif à la nécrose peut entraîner une compression du 4e ventricule cérébral (rique d'hypertension intra-crânienne) et une compression du tronc cérébral (avec trouble de la commande central de la respiration et décès par asphyxie). L'infarctus cérebelleux se manifeste initialement par un syndrome cérébelleux statique et cinétique, des nausées et vomissements, vertiges, céphalées postérieures. Les signes d'alerte annonçant les complications compressives doivent être recherchés régulièrement : troubles de la conscience (coma au maximum), troubles de la respiration, paralysie oculomotrice (avec diplopie), troubles de la motricité. En cas de compression avérée, la mise en place d'une dérivation ventriculaire externe en urgence peut être nécessaire. Au maximum, l'ablation chirurgicale de la zone infacrie doit être envisagée.
Conduite à tenir [modifier]
Cliniquement [modifier]
L'examen