commentaire composé Désert, Le Clezio (1980)
L’une de ces récompenses fut le prix Paul Maurand, qui lui fut remit suite à la publication de son roman désert en 1980.
Cet ouvrage inspiré de l’Afrique se divise en deux parties, on a tout d’abord l’histoire de Nour et des nomades du désert, la seconde partie parle de L'histoire de Lalla hawa une fille née dans le désert qui est obligée de fuir en direction de Marseille .Dans l’extrait étudié Lalla se retrouve face à des gens qui l’effraie mais cette peur disparaît lorsqu’elle se met à danser. Nous verrons donc ce qui fait de Lalla Hawa une héroïne.
Nous parlerons tout d’abord de l’aspect exceptionnel et inimitable de Lalla hawa qui transparaît à travers se texte puis dans un second temps nous verrons de quelle manière se manifeste son désir de délivrance.
Dans se texte Le Clezio dépeint Lalla comme étant une héroïne en nous montrant qu’elle est unique , tout d’abord à travers la musique pour cela l’auteur utilise le champ lexical de la musique :
« musique électronique » (l.8) ; « le rythme lent » (l.8), « la musique » (l.9); « rythme des tambours » (l.13) ; « le rythme de la musique » (l.14) ; « la musique joue » « son rythme lent et lourd » (l.19) …
Ainsi il met en évidence la symbiose de Lalla avec la musique, on retrouve la notion de corps instrument tout d’abord aux lignes 13-14 c’est elle qui semble devenir la musique elle dicte le rythme grâce à ces pieds qui rappellent les tambours de son pays natal, puis aux lignes 15-16 où l’auteur d’écrit ces mouvements souples et agiles qui suscitent l’attention du publique.
En plus de cela nous pouvons relever une comparaison ligne.9 (« c’est comme si la musique était à l’intérieur de son corps ») ici il est évident que l’auteur veut dire que la jeune femme incarne la musique, le thème du corps est donc principal.
D’un autre coté l’auteur veut démontrer à