Commentaire composé notre-dame de paris
Quasimodo, un héros inhabituel, sauve Esméralda du gibet. Tout d’abord, Quasimodo nous est décrit physiquement comme un être robuste pour pouvoir insister sur sa force : « … ». Il utilise également une comparaison : «… » En effet elle compare Quasimodo a un animal puissant qui est le roi des animaux. Ses membres sont grossis manifestant ainsi de l’aversion : « Sa grosse tête chevelue ses mains calleuses». Le narrateur exprime sa difformité avec un complément du nom : « son œil de gnome ». Il la souligne également avec l’adverbe « si »: «…un être si difforme… » (l.28), et en utilisant une hyperbole : « C’étaient les deux misères extrêmes de la nature et de la société…» (l.30-31). Dans cette hyperbole le narrateur exagère sur la situation de Quasimodo en la comparant à celle d’une condamnée à mort, qui est ici, Esméralda.
De plus, sa puissance est mise en valeur par un registre épique : «… il regardait en face cette société dont il était banni, et dans laquelle il intervenait si puissamment,…» (l.21-22). Victor Hugo montre que Quasimodo reprend confiance en lui après l’acclamation de la foule : « Il était beau, lui, cet orphelin, cet enfant trouvé, ce rebut, il se sentait auguste et fort… » (l.19-20). En effet, il utilise un point de vue omniscient afin de présenter le passé de Quasimodo, pour le comparer à ce moment précis avec un point de vue interne. Ainsi il se met à la place de son personnage en exprimant ses sentiments et nous pouvons ressentie le pouvoir qu’a Quasimodo. Le narrateur évoque la férocité de la scène à