Dans cet extrait écrit en 1881 par Nietzsche, philosophe allemand, une critique sur la survalorisation du travail est mise en place. En effet, dans ce texte extrait de Aurore, Nietzsche s'opposent à ceux qui sacralisent le travail en en faisant une valeur essentielle à l'être humain. De plus, la révolution industrielle bouscule l'activité économique et la population travaillent de plus en plus dans les insdustries dans des conditions vraiment difficiles (tâches épuisantes). Ainsi, cette époque chamboule de nombreuses sociétés grâce au travail et de nouvelles notions apparaissent: croissance, progrès techniques. Des notions qui ont pour objectif de faciliter la vie de la population , d'améliorer les conditions de vie et permettent de s'enrichir. Le travail serait donc bénéfique pour la population. Néanmoins, si nous prenons l'étymologie du travail en latin, "tripalium", ce terme désigne "une machine à 3 pieux" destinée à immobiliser les chevaux pour les ferrer. Ce serait donc un instrument de torture et le travail serait donc associer à la peine et à la souffrance. Nous pouvons également apercevoir que dans la Bible, Dieu punit Adam en l'obligeant à cultiver une terre stérile. Nous pouvons également rajouter qu'à partir de cette révolution industrielle, des organisations de travail sont mises en place et ont pour but d'améliorer le productivité même en mettant de côté les conditions de travail des ouvriers. Nous pouvons donc nous demander sur quels arguments Nietzsche s'appuie t-il pour défendre sa thèse? Dans un premier temps, nous verrons sa perception: le travail est laborieux et un deuxième temps nous permettra de concluire avec son argumentation: le travail aliène le travailleur.

Nous pouvons apercevoir dans cette première partie la perception de Nietzsche par rapport au travail. Pour lui, le travail est une dure labeur. Cependant, il n'est pas totalement contre le travail mais contre ceux qui la glorifient et qui la disent essentielle ou une valeur