Commentaire de texte anthropologique : Gerando et l'évolutionnisme
Texte de Gerando
A l’époque, et encore aujourd’hui, l’étude de l’homme n’est pas la plus importante. Plus concentrés sur nos besoin immédiat, nous ne cherchons plus a nous grandir en tant qu’humain, à nous perfectionné, mais bien à nous satisfaire personnellement, faisant passer notre individualité avant notre espèce. Mais, selon le philosophe attaché à l’idée de morale, c’est en se connaissant bien que l’on atteint les réelles jouissance de la vie tel que le bonheur. Mais comment se connaitre bien ? On peut y répondre en affirmant qu’il faut connaitre l’Autres, et sa nature. Et c’est en connaissant mieux l’Autres que l’on peut commencer à se connaitre. Et c’est dans la connaissance de soi-même que l’on peut améliorer ses facultés, et enfin, arriver aux jouissance de la vie, philosophiquement parlant. Gerando nous montre donc une façon d’atteindre le bonheur par la connaissance de l’Autre, et donc de nous même. Mais comment étudier l’Autre ? Gerando y répond. Il explique que l’observation est la base de l’étude de l’Humain. Par la détection et la mise en relation des différences, ou des variétés comme il l’appelle, nous pouvons analyser et comprendre les Autres en face de nous. En comprenant le pourquoi de ces variétés, nous comprenons l’autres dans sa façon d’agir et de pensé. En le comprenant, nous mettons a nus des systèmes de réflexion qui sont similaire aux nôtres, mais que l’on n’aurait pu trouver par simple réflexion sur nous même. Et c’est par ce cheminement intellectuelle que nous nous découvrons nous même. Mettre en comparaison nos différences Mais quel Autre étudier ? Lequel des Autres qui nous entoure serait le plus à même à nous monter les modes de réflexion humains ? Notre voisin de palier ? Celui de la ville voisine ? Du pays voisin ? Gerando nous dirige alors vers ce qui est pour lui le plus apte à nous apprendre à nous comprendre nous même : les peuples « sauvages ». D’après lui, par leurs différences