Commentaire du chapitre vi de "pierre et jean"
« Je suppose naturellement que vous désirez m’épouser » l.33 Mme Rosémilly formule elle-même la demande en mariage. Pourtant, traditionnellement c’est l’homme qui se charge de cette demande. Mme Rosémilly pose de nombreuses questions avez-vous perdu la tête ? » l. 16 , « en avez-vous parlez à votre mère ? » l.37 , ainsi elle construit le dialogue et met en place le contrat de mariage. Elle utilise les pronoms « vous/je » l.31 , « nous » l.31 , « l’un et l’autre » l.32 : Mme Rosémilly parle pour elle et Jean à la fois. C’est Mme Rosémilly qui donne est même sa mains sans que Jean la lui demande « Tendit sa mains encore mouillée » l.39. Les réactions à propos de cette demande en mariage rapide est contraire : Mme Rosémilly est « si peu troublée » l.45 tandis que Jean pensait à « une coquette comédie d’amour » l.46 , coquette étant un adjectif qualificatif féminin. Lui ne parle que d’amour « je vous aime » l.17. Jean et Mlle Rosémilly ont des rôles différents mais aussi des caractères différents. B. Des caractères opposés
Mme Rosémilly prend les décisions, elle est perçut comme une femme d’affaire : « nous savons » l.31 , « nous pouvons peser toutes les conséquences de nos actes » l.32 , « décider » l.33 , « suppose » l.33. A l’inverse, Jean est troublé, prit au dépourvu : « répondit niaisement » l.35 , « s’étonnait » l.45 , « il s’attendait » . Jean est surpris par la demande en mariage implicite