Victor Hugo est l'auteur de nombreux romans, tel :" Les misérables " (1862), et de nombreux poèmes, par exemple : "Mélancholia". Hugo est aussi un dramaturge, un homme politique, un académicien et un intellectuel très engagé. Son œuvre s'étend sur plus de quatre vingt romans, de multiple poèmes et pièces de théâtre. Nous étudierons un extrait du roman "Les Misérable" écrit en 1862 par Victor Hugo. Il s'agit, ici, de la description de Montparnasse, un jeune truand des bas-fonds de Paris, en 1830. Nous nous demanderons alors,
Ainsi, nous étudierions tout d'abord le portrait paradoxal de Montparnasse, pour se pencher, ensuite, sur les raisons de la brutalité du personnage.

L'auteur, dans ce passage, dresse un portrait paradoxal de Montparnasse. En effet, Mont parnasse possède un physique très avantageux. Nous remarquons ainsi que ce jeune homme dispose d'un beau visage. En effet, le narrateur dit: "un joli visage, des lèvres qui ressemblaient à des cerises, de charmants cheveux noirs, la clarté du printemps dans les yeux, " (l.2,3,4). Dans cette expression, la beauté est exprimée par de nombreux adjectifs mélioratifs, tels que: "jolie" (L.2) ou encore: "charmants" (L.3). Ainsi, dès la première "rencontre" avec Montparnasse, nous avons un opinion positif à son égard. Personne ne peut résister à sa fraicheur: " la clarté du printemps dans les yeux " (L.3), et sa sensualité, avec la comparaison: " des lèvres qui ressemblaient à des cerises " (L.2,3). Le corps, l'allure de Montparnasse, sont plaisants. Le passage du texte, (L.18,19), :" Frisé, pommadé, pincé à la taille, des hanches de femmes, un buste d'officier prussien, ", nous dévoile un homme coquet et séduisant. La tournure de l'expression : "des hanches de femmes, un buste d'officier prussien" (L.19), nous laisse supposer que Montparnasse séduit aussi bien les femmes ("un buste d'officier prussien" L.19), qu'il charme les hommes (" des hanches de