communication interculturelle
Le modèle américain
Le modèle entrepreneurial :
Système orienté sur la réalité du marché où :
Le pragmatisme l’emporte dans la conception du management
L’analyse factuelle des situations permet une action à court terme
La réussite de la tâche prime sur le pouvoir politique de la hiérarchie.
Cette organisation accorde une place importante à la prise de risque (faible contrôle de l’incertitude), à l’innovation.
Les rapports hiérarchiques sont limités et de type horizontal, fondés sur une forte mobilité et une hyper flexibilité.
La performance individuelle y est fortement encouragée, fondée sur la réussite personnelle et le dépassement de soi.
En retour, le salarié est associé au processus de décision et au développement de l’organisation.
Le modèle en réseau :
De nouvelles composantes sont nées de l’évolution des marchés et des exigences en matière d’innovation.
A la fois plus souples et dégagées de liens hiérarchiques trop pesants.
Les critères ne sont plus prédéfinis mais dépendant des objectifs à atteindre et des résultats à obtenir
Les tâches sont regroupées en fonction de la complémentarité des compétences.
La coordination des salariés repose sur de nouvelles logiques d’apprentissage issues de l’expérience.
C’est l’autonomie de décision et d’action qui sont le moteur de la motivation et de l’engagement de salariés
Ces derniers apportent quant à eux, leurs qualités spécifiques, leur savoir-faire et surtout leur expérience personnelle dans leur domaine d’activité : leur réputation.
Le modèle asiatique
Il est difficile d’établir un modèle type en Asie, tant cette région du monde regroupe des composantes plurielles :
Politiques
Culturelles
Religieuses
Militaires
Commerciales…
Loin d’être un ensemble uniforme, l’Asie est un continent qui est fait de contrastes importants.
Dans le monde des affaires, on tend à retrouver des traits communs liés :
A l’influence de la communauté chinoise, très