Comportement des émotions
Toutefois, le verbe « pleurer » s’est lentement approprié un genre. De nos jours, il est même considéré comme une marque de « faiblesse » et même de « lâcheté » pour un « vrai » homme. Les noms « faiblesse » et « lâcheté » sont des termes péjoratifs, désignant des défauts qui nuisent à la personnalité idéale de l’homme. Les termes « faiblesse » et « vaillants » mettent en évidence donc un contraste entre le monde actuel et celle d’Homère, où les pleurs traduisent une faille ou une anomalie dans les traits masculins. La société a donc évoluée, en attribuant aux larmes une connotation négative. Ceci peut-être lié à l’attitude des pères envers leur fils. Les paternels répètent régulièrement « pas pleure comme des fillettes …afficher plus de contenu…
D’après une étude dans la société actuelle il y aurait une pression sur les femmes pour garder la ligne et qu’elles aient plus de chances de séduire. D’ailleurs cette pression pourrait devenir une « pathologie » chez celles ci. Apparement les hommes mangent plus en présence des femmes qu’en présence des hommes en revanche les femmes mangent la même quantité qu’elles soient avec des hommes ou des femmes. Néanmoins quand elles mangent cette même quantité accompagnées d’un homme, elles ont cette sensation d’avoir trop mangé. De plus nous pouvons faire allusion au « dressage à la tendresse » car chez les filles les hurlements, l’oublie des formules de politesse, le fait de parler trop fort sont moins acceptables que chez les garçons. Nous nous appuyons sur la vidéo jointe dans le document 6. C’est l’histoire d’une femme qui raconte comment elle a vécu son