La violence passant sous forme de spectacle

Depuis le début des temps, toutes sortent de personnes ont effectué des actions très cruelles et inhumaines. L’humanité a souvent exécuté des actes de grande violence sans raison valable et rationnelle. Selon Victor Hugo, la peine de mort est un « signe spécial et éternel de barbarie1». Ceci est une forme abrupte de terminer la vie d’un individu sous forme de spectacle. Ainsi, ce roman de Victor Hugo veut dénoncer la peine de mort mais plus vaguement, la violence envers les autres. Lorsque le condamné « a eu l’occasion d’assister au ferrage et au départ pour le bagne des forçats2», il découvre de ses propres yeux que ces galériens sont soumis à une grande humiliation et différentes formes de violence. Les préparatifs pour aller à Toulon terminés, l’humiliation commence avec l’enfilement des chaînes. Chacun des forçats est « réduit à lui-même3» qui anéanti toutes formes de dignité qu’ils leurs restent. Ces condamnés aux travaux forcés sont habitués d’avoir une certaine sorte d’humiliation pour le fait qu’ils sont étiquetés inférieurs à tous les geôliers et les argousins. Ils sont facilement reconnus et jugés par des items comme des chapeaux de paille fabriqués par eux-mêmes. Par la suite, l’humiliation va au niveau de la violence. Alors, les forçats n’ont plus aucun plaisir et réalisent qu’il est inhumain d’abuser des gens comme cela. En plus, le départ est présenté sous forme de spectacle. Le condamné est changé de cellule pour voir cette forme de divertissement connu comme un « châtiment horrible faisant une fête de famille » (DJC, p.66) contenant « trois actes à ce spectacle. » (DJC, p.69) Puis, les forçats mettent le condamné « au centre de l’attention » (LF, p.71) comme pour un spectacle. Dans son discours de 1848, Victor Hugo veut démontrer à toutes sortes de personnes que la peine de mort est irrationnelle sous forme de spectacle avec des épisodes d’humiliation. (329 mots)
Bibliographie
HUGO,Victor. «La