Confessions de rousseau
Avec « Les confessions » Jean-Jacques Roussseau répond aux accusations de ses ennemis qui le présentent comme un méchant et un être antisocial. CITATION
Dans la première partie des « Confessions » il retrace une jeunesse insouciante et pleine de poésie CITATION.
Jean-Jacques Rousseau cherche à montrer son vrai visage. Il se présente comme quelqu’un de sincère car il aime la solitude et la nature, il dit qu’il est obsédé par la vertu et qu’il a été le meilleur des hommes « J’avais toujours rie de la fausse naïveté de Montaigne qui faisant semblant d’avouer ses défauts a grand soin que de s’en donner que d’aimables tandis que je sentais moi qui me su crut toujours et qui me crois encore à tout prendre, le meilleur des hommes, qu’il n’y a point d’intérieur humain, si pur qu’il puisse être, qui ne recèle quelque vice odieux »
Dans la seconde partie il se justifie de sa brouille avec Mme d’Epinay et avec les philosophes et interprète les choses en sa faveur. CITATION
Rousseau ne cache ni ses fautes ni ses remords, il pense ainsi pouvoir les diminuer et alléger son poids sur sa conscience. « Il est, dit-il, des retours sur nos fautes qui valent mieux que de n’en n’avoir pas commis »
Rousseau explique qu’il a vécu selon la nature. Selon lui, sa différence avec les autres hommes vient du fait que les autres sont déformés par les mensonges et les vices de la société. Il montre que sa vie est l’illustration même de sa doctrine : né bon, égaré ou perdu par la faute de la société, il a su se ressaisir pour retrouver le chemin de la nature et n’être guidé que par son cœur. Lors d’une représentation de sa pièce de théâtre Rousseau se vêtit d’un manière extravagante et assiste tout de même à la représentation, se voyant mal à son aise et se demandant si il était sa place, il se dit tout de même :