corpus De grand' beauté ma déesse et le front
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ce corpus contient deux blasons qui sont intitulés De grand' beauté ma déesse écrit par Joachim du Bellay qui est extrait dû recueille de l'olive, il s'agit de la lettre n°7 écrite en 1550, ça parle de la beauté d'une femme par la description de l'auteur. Le deuxième poème est intitulé le front écrit par Pierre de Ronsard qui est le fondateur du mouvement de la Pléiade avec Joachim du Bellay. Par quels procédés ces blasons mettent-ils le corps de la femme en valeur ? premièrement nous allons voir un vocabulaire mélioratif. deuxièmement l'exagération et l'insistance. et troisièmement nous allons voir la création d'image. donc premièrement dans ces deux blasons il y a l'introduction d'un vocabulaire mélioratif en utilisent des adjectifs qualificatifs pour mettre en valeur leur description du corps comme dans le poème de pierre de Ronsard "beaux"(v2), "menues"(v8), "révéré"(v11) deuxièmement, il y a des exagérations et de l'insistance. dans ces deux blasons il y a des exagérations en utilisant des hyperboles comme chez pierre de Ronsard "ou tout engin et tout savoir abonde" (v12) ce qui valorise ses connaissances. et il y a aussi de l'insistance dans ces deux textes comme dans le poème de Joachim du Bellay qui répète quatre fois l'adverbe "soit" qui permet l'introduction d'une partie du corps Troisièmement nous allons voir la création d'image dans ces deux blasons avec l'utilisation de figure de style comme des métaphores, des comparaisons et des périphrases. que l'on peut retrouver chez Joachim du Bellay avec la métaphore "chez d'or"(v7) qui représente la chevelure blonde de la femme, ou la périphrase "sphère ronde"(v11) qui représente la tête. pour conclure on peut dire que ces deux blasons mettent en valeur le corps de la femme avec différents procédés d'écriture comme l'emploi d'adjectifs qualificatifs, de répétions, d'hyperboles et de figure de style. ce qui permet de mettre en valeur le corps de la femme