Cout de transaction
Chaque jour des millions d’hommes et femmes travaillent dans des millions d’entreprises .ils commandent et obéissent ,organisent et exécutent ,décident ,négocient et choisissent .ils sont gouvernes de manière que leurs travail s’accomplissent en conformité avec des règles ,des statuts des hiérarchies.
En cette fin de XIX e siècle ,quels modèles sont explicitement ou implicitement utilises pour rendre légitime ,donc socialement acceptable ,le gouvernement des hommes dans des entreprise?
La question n’est pas nouvelle :depuis plus de deux siècles une énorme littérature économique inspire directement ou indirectement nos représentations de l’entreprise et est a l’origine des principales techniques de gestion .
L’analyse néoclassique traditionnelle a longtemps dominée la pensée économique . elle appréhende la firme a travers des relations de marché ,en la considérant comme une entité dont la fonction est de combiner des facteurs de production achètes sur des marches pour produire des biens vendus sur d’autres marchés .la firme néoclassique est dotée d’une fonction de production qui est par définition efficace .cette théorie n’inclut pas l’organisation dans la représentation qu’elle fait de la firme .c’est la logique de la boite noire que l’on n’ouvre pas faute d’outils pour en comprendre les mécanismes.
Puis, nous avons vu la montée de la théorie libérale ou « contractualise » .
Comme tout modèle , qu’il soit propre aux sciences physiques ou humaines , il repose sur une série d’axiomes ,c’est -a –dire des hypothèses initiales indémontrées .ces hypothèses définissent le « noyau dur du système » . classiquement , on repère quatre axiomes de base – trois concernant les individus économiques et le quatrième définit le marche comme espace de leur coordination.
Les trois axiomes sur l’individu postulent sont autonomie ,sa rationalité et son information . l’individu économique type est donc autonome ,rationnel et informe ,et le marche est l’espace