Travailler la terre est un mode de vie valorisé par certains, mais ce dernier n’est pas synonyme de bonheur pour tous y comprit des personnages des deux œuvres. Donc on ne peut pas affirmer que l’attachement à la terre est valorisé, puisque les personnages principaux dénigrent les autres personnes sur le fait qu’ils s’emprisonnent dans leur milieu agricole et ils ne vivent pas leurs vies pleinement.

Premièrement, travailler la terre est un mode de vie valorisé par certains, mais ce dernier n’est pas synonyme de bonheur pour tous. Le personnage principale de l’extraits de Maria Chapdelaine, dénigrent la vie de paysan qui préfèrent cultiver la terre sans arrêt. (Gratter toujours le même morceau de terre(…), je n’aurais jamais pu faire ca tout mon règne : il m’aurait semblé être attaché comme un animal a un pieu). Ce personnage démontre clairement son mépris du travail de la terre, par ca comparaison à un sort réservé pour les animaux. Le fait de comparer cela a un animal attaché, vient appuyer l’idée que c’est un mode de vie qu’il trouve désobligeant pour sa personne et en aucun cas il ne valorise le travail de la terre. Ensuite, dans l’extrait du Le Survenant il y a l’idée que les gens qui travail la terre ne se rendre pas compte que leur vie est d’une grande platitude. (vous aimez mieux piétonne toujours a la même place(…). Saint bénite, vous aurez donc jamais rien vu, de vote vivant). Par le petit discours du personnage principal qui s’adressait aux autres paysans, il est à comprendre que ces derniers sont entrain de vivre une vie ennuyante qui ne leur apporte rien de sensationnel et qu’ils sont entrain de laisser passer les choses merveilleuses qu’offre la vie. Donc, une fois encore il y a une critique de la vie paysanne et si dans les deux extraits suivant l’attachement a la terre est méprisé, on ne peut affirmer que ce mode vie est valorisé.

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