Culture organisationnelle
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UNIVERSITE D’ABOMEY CALAVI
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FACULTE DES LETTRES ARTS ET SCIENCES HUMAINES
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DEPARTEMENT DE PSYCHOLOGIE ET SCIENCES DE L’EDUCATION
Toute organisation, dans le but de maximiser sa production dans un environnement où la concurrence est de mise, se trouve en perpétuelle réflexion de définition des stratégies de perfectionnement tant à l’interne qu’à l’externe de l’entreprise, qui ne sont possible que par une bonne organisation du travail.
Le travail est l’activité à laquelle l’homme s’adonne pour satisfaire ces besoins dont notamment les cinq besoins de Maslow». Dans ce processus les travailleurs sont confrontés à certaines conditions qui ne les amènent pas toujours à s’engager et à s’impliquer pleinement dans leur travail. Cela vient de la nécessité pour la hiérarchie d'offrir un environnement stimulant qui influencerait les travailleurs avec pour résultat une efficacité organisationnelle.
Aussi malgré la disponibilité des capacités financières et matérielles suffisantes ; on aura des succès qu'à condition que le personnel accepte de s'identifier à l'entreprise et décide d’y contribuer activement. D'où le personnel mal géré devient automatiquement moins performant et c'est l'organisation qui en souffre, et que si la concurrence et la compétitivité s’en ressentent, cela pourrait être dû à certains facteurs dont les conditions de travail du personnel qui ne répondant plus aux exigences et besoins modernes. C’est dans ce sillage que MONTMOLLIN, Cité par CITEAU (1997), considère que les conditions de travail expriment tout ce qui caractérise une situation du travail et favorisent ou freinent l'activité des travailleurs.
Le problème central de notre recherche est de comprendre comment les individus perçoivent leurs conditions de travail et l’impact que cette perception a sur leur niveau d’implication au travail. En prenant comme champ d’étude le personnel de la SBEE, nous tenterons de voir si il existe