Dans le labyrinthe

« Dans le labyrinthe » présente l’odyssée d’un soldat échappé d’une armée en retrait, perdu dans une ville couvert de neige ou l’héro trouvera son fin en étant tue par une mitrailleuse. « Dans le labyrinthe » on nous est présenté une armée en retrait qui arrive dans une ville couverte du neige. Dans ce ville, l’héro sera tué par une mitrailleuse. Dans un labyrinthe tous les chemins, avec une seule exception, sont faux. La jeu ne consiste pas dans l’évasion du labyrinthe, mais dans le fait de te perdre en lui. La précision méticuleuse des descriptions nous n’expose rien sur la psychologie de l’héro, son espoir d’évader du labyrinthe ou l’appréhension d’être son victime. La ville crée un état d’indisposition à la manière de Kafka, avec toutes les maisons de la même façon et la neige qui amortit le bruit des pas. En ce qui concerne l’écrivain Robbe-Grillet, la critique a fait la comparaison avec Siméon, Kafka ou Graham Greene, mais Robbe-Grillet refuse son place dans cette illustre ascension littéraire. Il n’écrit pas une histoire d’une conscience tourmentée. Par contre, il décrit un comportement sans l’intervention de la psychologie. Roland Barthes a lui fait un portrait qui décrit l’intention littéraire du partisan du nouveau roman français : « Une écriture sans alibi (justification), sans densité, sans profondeur … le développement du visuel. » Robbe-Grillet a assassiné l’objet et l’espace classique et ce fait représente l’avenir du nouveau roman : un roman de la surface. L’intériorité est mise entre parenthèses mais l’objet et l’espace sont élevés au rang du sujet. Le roman devient l’expérience directe a tout qu’il enclot l’homme, sans la possibilité d’utiliser la psychologie, la métaphysique ou la psychanalyse pour comprendre le moyen objectif qu’il découvert. Par ses romans, le lecteur a la possibilité de voir le monde par les yeux d’un personnage qui a seulement la perspective du spectacle.

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