Descartes et l'humanisme
Cégep St-Laurent 18 mars 2009
Travail L’enfance d’un chef
1. Dans ce roman de Jean-Paul Sartre, je crois que le personnage principal, Lucien Fleurier, est de mauvaise foi. Selon l’existentialisme, un homme de mauvaise foi se ment à lui-même pour fuir devant la liberté de ses actes. Cette personne sait très bien qu’elle a tort, mais continue de réagir ainsi pour faciliter sa situation. Dès le début de l’histoire, Lucien est continuellement à la recherche de soi-même. Lorsqu’il est enfant, il se rencontre des histoires et se place dans des situations qui sont complètement hors de la réalité. Par exemple, il s’amusait à agir comme un orphelin et ne mangeait pas pendant des jours. Il croyait vraiment que c’était normal et rien dans le monde ne l’empêchait de faire ce qu’il voulait. Tout le monde a la liberté et la responsabilité de choisir sa vie selon leur engagement dans la société. Notre évolution dans le monde dépend uniquement de nos actions, de nos choix et rien d’autre. Lucien se demandait tout au long de l’histoire qui il voulait être dans la vie. À la place de faire des choix par lui-même, il suivait les autres et se laissait emporter par l’influence des gens qui l’impressionnaient. Selon Sartre, l’homme devient libre lorsqu’il arrête de mentir à lui-même. À la fin de l’histoire, je crois que Lucien a atteint cette période de la vie et se considère comme libéré.
2. À la fin du roman, Lucien devient réellement un homme libre selon l’existentialisme. Il comprend enfin son but dans la vie et on voit qu’il va être capable de décider les choses par lui-même après le dernier chapitre. D’après moi, Lucien va vouloir se marier, mais avant il va tenter de faire des choses qu’il n’aurait jamais été capable de faire tout seul auparavant. Les décisions et les responsabilités de tous les jours seront enfin acceptées et comprises par le personnage, ce qui va lui guider à travers le restant de sa vie. Il va