Disert' philo bonheur est til egoiste
Marine
T es 3
Le bonheur peut il être égoïste ?
« A chacun son bonheur, » tel semble être le dicton du jour…
Il semble que rien ne peut représenter le Bonheur.
Le bonheur n’est pas quelque chose qu’on écoute que l’on regarde ou que l’on peut observer de l’extérieur : il se vit de l’intérieure.
Donc le bonheur apparaitrai comme égoïste, il serai lié à notre avis intérieure, il est totalement personnel ou individuelle mais le bonheur qui ne se vie que de l’intérieure est-il réellement le bonheur, s’il exclut autrui ?
D’où la question : Qu’est ce que le bonheur véritable répond t -l à une seule définition. Selon les uns il serait formé de cours instants et pour les autres il serait un état durable ou un état qu’on atteins après la vie.
Le bonheur pourrait se définir par rapport au plaisir, à la satisfaction des désirs, mais ne peut il pas se partager ?
Pour pouvoir partager le bonheur de manière juste on a besoin de règles de vie, l’ensemble de ces règles forme la moral mais finalement le bonheur est il indissociable de la moral ? Peut on le définir sans elle ?
Ainsi dans une partie nous nous demanderons si le bonheur peut être égoïste.
Le bonheur est-il une affaire privée ? Comment le concevoir, alors que nous sommes des êtres relationnels, un bonheur égoïste et individuel ? Mais rechercher un bonheur collectif, ne serait-ce pas en imposer une vision limitée à chacun ? Les enjeux du bonheur sont-ils strictement personnels ? Doit-on renoncer à toute fois dans un bonheur collectif ?
Tout d’abord, il me semble indispensable d’établir une différence entre le plaisir et le bonheur, Dans un premier temps le plaisir, qui n’est que la satisfaction d’un désir, le plaisir est une notion éphémère et ainsi le bonheur s’oppose au plaisir car lui est un état de durée.
Le bonheur est souvent conçu comme étant une fin ultime de la vie humaine.
Il se distingue des fins partielles, c’est-à-dire des fins qui à leur tour deviennent des moyens