Dissertation de français
Alfred Sauvy a dit:"Le but de l'économie n'est pas le travail, mais la consommation."En effet, aujourd'hui, nous sommes dans une économie de Marché (tout est vendu sur le marché sauf les organes) et mondialisée en dépit de l'éthique.
Le marché désigne un lieu fictif constitué par l’ensemble des marchés nationaux des États membres de l’Union européenne où l'offre et la demande s'accordent sur un produit pour une quantité à un prix donné.
L'éthique fait l'examen de la justification rationnelle de nos jugements moraux, elle étudie ce qui est moralement bien ou mal, juste ou injuste.L'éthique reprensente donc l'ensemble des valeurs qui nous sont inculquées pendant notre enfance et qui nous aident ainsi à faire la différence entre le bien et le mal et ne peut être remises en question puisque cela nous semble évident.
Peut-on affirmer que le commerce et l'éthique se rejoignent?
Nous réponderons à cette question en deux parties, l'une affirmant que le marché et l'éthique sont compatibles et l'autre partie montrera que sur certains points ces termes sont antagonistes.
Tout d'abord, nous avons vu dernièrement l'émergence d'un marché "de vertu" c'est-à-dire que les entreprises et les consommateurs réussissent à s'entendre pour des produits qui ont un label par exemple pour la vente de poulet avec le Label Rouge qui certifie que le poulet est d'origine fermière. Ainsi le consommateur est plus rassuré de part l'origine de l'aliment et les entreprises peuvent donc faire plus de profits selon la vision du chercheur Javier Santiso.
Ensuite, nous savons que toute entreprise qui produit engendre des externalités négatives comme la surexploitation ou la pollution, ce qui est tout à fait contraire à nos valeurs. L'état a donc décidé de créer des taxes ou des lois pour palier ces problèmes. Par exemple la taxe carbone qui s'élève à 17 euros par tonne de CO2 oblige les entreprises à favoriser l'agriculture locale plutôt que