Dissertation, Français : La ville détruit l'homme plus qu'elle ne l'enrichit
« La ville détruit l'homme plus qu'elle ne l'enrichit. » affirme un critique contemporain. Discutez ce point de vue.
Depuis plusieurs années, la ville a beaucoup évolué. Des innovations ont été faites, et de nouvelles inventions ont été découvertes. Cependant, tous ces changement sont-il bénéfiques pour l'homme ? Un critique contemporain affirme que « La ville détruit l'homme plus qu'elle ne l'enrichit ». Quelles est la nature des rapports entre la ville et l'homme ? La ville est-elle totalement nuisible à l'homme ? Dans un premier temps, nous exposerons les méfaits de la ville pour l'homme, ensuite, nous noterons ses bienfaits puis nous verrons la relation entre la ville et l'homme.
En effet, la ville détruit l'homme plus qu'elle ne l'enrichit. Comme on peut le voir chez Alfred de Vigny, elle est un lieu « d'asservissement » (v.1). Les hommes y ont pris leurs habitudes et n'y portent plus attention, c'est une routine quotidienne. Ils ont pour habitude de d'habiter en ville, d'y vivre, d'y travailler. Il présente autant la ville comme un lieu dangereux, du même avis que Nicolas Boileau dans Les embarras de Paris « démons », « enfer », « maudit », « funèbre », « pour honorer les morts font mourir les vivants », « l'un me heurte d'un ais, dont je suis tout froissé », « enterrement », « jurer les passants », « funeste présage », « vient menançant de loin la foule qu'elle augmente ». Paris est présenté comme une ville surpeuplée, les habitent sont comparés à des animaux, à des insectes à travers des métaphores « fourmille », « un grand troupeau de boeufs ». Afin de montrer cet amas de personnes, il utilise des hyperboles « suivis de plus de mille », « Vingts carrosses bientôt arrivant à la file ». Cette ville est dangereuse, les habitants se comportent tels des animaux. Paris est une ville néfaste. D'après Jules Supervielle dans Marseille, on peut voir que les habitants veulent partir, quitter la ville. C'est une ville côtière car