Socrate : (v. 470-399) philosophe grec. Deux armes redoutables (ironie socratique et la maïeutique)

Socrate constate que ceux qui passent pour sages aux yeux de la multitude ne le sont pas.
Ces gens pensent tout connaître alors qu’en regard de la vérité ils ne savent rien. La véritable sagesse, selon lui, consiste plutôt à reconnaître notre ignorance devant l’immensité de la réalité.
La pire ignorance dont une dont un humain puisse être affligé est l’ignorer qu’il ignore.

Les sophistes cherchent seulement l’argent et le pouvoir, ils ne cherchent donc pas la vérité.

L’ironie socratique consiste à feindre l’ignorance et à poser innocemment quelques questions. À titre d’exemple, on fait semblant d’être enthousiasmé par la thèse de quelqu’un. Une fois celui-ci est en confiance, on l’interroge subtilement. Le but n’est pas de ridiculiser la personne mais de faire en sorte qu’elle réalise peu à peu son ignorance.

Maïeutique- incite l’interlocuteur à rechercher par lui-même la vérité et le bien.

Socrate est accusé de corrompre la jeunesse et est condamné à mort. Les gens riches dont leur enfant apprenait à la façon de pensé de Socrate lui ont suggérer de l’aider a sortir de cette prison, mais il refusa, parce qu’il préféra mourir en étant fidèle à sa mission.

Les sophistes sont de très bons oratoires et savent comment convaincre les gens qu’ils savent tout.

Socrate nous enseigne que la grande fin de l’activité humaine est la recherche du bien et que la sagesse suffit à tout.

En se servant de la rhétorique et de leur intelligence, les sophistes perdaient toute préoccupation morale.

Processus automatique : Il s’agit d’un processus primitif extremement rapide où l’on accepte ou non les raisonnements qui nous sont présentés. Dans ce processus notre facon d’examiner et devaluer les arguments depend bco de notre éducation.

Processus réflexif : Processus plus évolué et plus lent ou l’On examine attentivement la structure et les parties d’une