La justice est un sujet très répandu dans notre société. Elle touche toutes les parcelles de notre vie. Il s’agit en effet d’un sujet que nous explorons depuis longtemps et qui nous même toujours à une aporie. Platon a lui-même abordé le sujet dans une de ses œuvres nommer La république. Plus précisément lors d’un échange avec Glaucon ou celui-ci affirme que nul n’est juste volontairement, mais uniquement parce qu’il y est contraint. J’appuie les propos de Glaucon puisque nous restons justes puisque, nul ne veut être puni et l’injustice nous apporterait la punition. Mais au contraire on peut aussi croire qu’une personne peut être juste volontairement afin d’obtenir des satisfactions personnelles. De plus, ce n’est pas réellement possible pour un homme de rester juste si celui-ci peut avoir une chance de commettre l’injustice.

D’abord, Glaucon a raison de dire que nul n’est juste volontairement, mais uniquement parce qu’il y est contraint, puisque de nos jours, le peuple préfère rester juste afin de ne pas être puni. Il est préférable de se ranger du côté de la justice plutôt que de payer le prix d’un acte injuste que nous avons commis. Certain philosophes de l’époque ont eux-même eu des discutions sur le sujet. Thrasymaque pour sa part affrime dans La République, que« le juste consiste à faire ce qui est dans l’intérêt du plus fort.»1 Dans ses propos Thrasymaque explique de façon bien précise que l’homme juste fera des choix dans son intérêts afin de ne pas faire en sorte de se pièger lui-même. Il prendra des décisions qui auront des effets positif afin de ne pas devoir subir les conséquences d’un acte injuste. De nos jours, un bon exemple illustrant la véracité de cet argument est lorsque nous sortons en voiture, nous choisissons de respecter les limites de vitesse puisque nous sommes conscients que si nous dépassons cel-ci, il y a de fortes chances qu’un policier nous colle une amende assez dispendieuse pour la faute que nous aurions commise. En somme,