Dosage du Fe(II) et Fe(III)
La polarographie impulsionnelle normale = la polarographie à impulsion croissante
Une nouvelle méthode voltammetrique a été développé pour l'anylse des ions ferriques et ferreux présents dans des complexes utilisés dans l'industrie pharmaceetique. Quetsion 1 : Avantages : viable, précise (meilleur sensibilité, meilleurs résultats d'analyse), plus écologique (réduction de la consommation en Hg), limites de détections plus basses, bonne reproductibilité
I - Introduction
Traitement concerne les anémies du à la déficience en Fer où l'on retrouve les complexes ISC et SFGC. La teneur en Fe(II) et Fe(III) des ces composés est quantifiées par l'USP et doit être rigoureusement contrôlée. De plus, les complexes de faibles PM doivent être indétectable en NPP et chromatographie sur gel perméable.
La méthode utilise un électrode à goutte de mercure pendante et permet d'analyser le Fer(II) et (III) dans les deux complexes à la concentration de 1% (poids:volume).
II - Expériences
2.2 - Matériels
Electrode de travail : électrode à goutte de mercure pendante
CE : électrode de platine
Electrode de référence : Ag/AgCl
Comme dans le TP
2.3 - Calculs quantitatifs
Pour calculer de taux de Fer(II) que se soit par NPP ou DPV :
(1-2/R)*(Fe)=%Fe(II)
• (Fe) concentration totale en Fer dans l'échantillon
• R=R1/R2
Question 2 : lorsqu'il n'y a pas de de Fer(II) en solution donc que Fe(II)
Lorsque l'on balaye la gamme de potentiels adéquate on a les réductions suivantes qui s'opèrent :
Fe3+ + e- -> Fe2+ (1) : processus monoélectronique
Puis le Fe2+ formé va à son tour se réduire
Fe2+ + 2e- -> Fe(0) (2) : processus biélectronique
R est le rapport des intensités des pics du à la réaction (1) divisée par celui de la réaction (2)
La réduction des ions Fe2+ nessecite donc