Dp , exemple français
La discrimination positive peut être considérée comme un ensemble de mesures visant à favoriser certaines personnes appartenant à des catégories dont des membres subiraient ou auraient subi des discriminations systématiques.
La critique essentielle d’un tel système réside dans le fait que, voulant pallier à des problèmes sociaux, l’imposition d’un régime de discrimination positive soit lui-même créateur de discriminations, à l’égard des nationaux ou de minorités écartés des mesures parce que moins puissantes.
Dans le cadre de la discrimination positive, Les catégories de personnes concernées peuvent être définies, selon le cas, à l'aide des critères sexuels, ethniques, médicaux, culturels, linguistiques, religieux, socioéconomiques ou territoriaux.
S’agissant de la discrimination positive à l’égard de personne selon leur sexe, il s’agit majoritairement du cas de l’introduction d’éléments féminins dans l’environnement socio professionnel qu’il s’agisse de l’administration ou de l’entreprise. Ainsi en France, comme dans d’autres pays, la poussée du féminisme au cours du XXème siècle à provoquer en plus d’un changement des mœurs un changement du rôle de la femme dans l’entreprise. Ainsi le législateur à, en France, favoriser un recrutement hétérogène homme/femme et les juridictions suprêmes (la Cour de cassation et le Conseil d’Etat) ont crée une jurisprudence importante sur ce sujet depuis la consécration du préambule de 1948 comme texte à valeur constitutionnelle avec la constitution de 1958.
Concernant la discrimination positive selon des critères ethnique, on peut observer que le phénomène dérange pour ne pas dire effraie les opinions car pouvant causé de véritable dommages collatéraux, à savoir l’exacerbation des conflits de types raciaux ou encore en tant que contrainte supplémentaire pour l’employeur devant déjà faire face à un droit du travail assez rigide dans l’hexagone par exemple. C’est