Droit pénal
Première distorsion : l’adultère : violation de la morale publique pour autant et ce depuis 1875 l’adultère n’est plus réprimé pénalement. Autre exemple : l’hypothèse du mensonge : contraire à la morale pour autant le mensonge n’est pas réprimé en soit pénalement, mais il peut constituer un élément constitutif d’autres infractions : l’escroquerie, l’abus de confiance, alors ici le mensonge retrouve une vertu pénale, à défaut le mensonge n’encours aucun risque pénal. Ainsi, la morale et le droit pénal diffère par leur but : la règle morale n’a finalement qu’un seul objectif qui est de celui de permettre une amélioration de l’individu, en revanche le droit pénal a un objectif plus large dans la mesure où il a pour but de protéger la société dans son intégralité donc de sanctionner les atteintes qui seraient faites à l’ordre public. Le but n’est donc pas d’améliorer l’individu mais d’assurer une protection globale de la société. Mais la défense de l’ordre public, objectif du