Droit a l'image débat
Tout d’abord, à propos du droit à l’image en général, les étudiants participant au débat estiment que celui-ci est difficilement applicable. Ils pensent que ce droit est un droit trop vaste et qu’il y a trop d’informations à contrôler. Toutefois, ils pensent que défendre le droit à l’image dans les médias écrits est relativement plus simple que sur internet. En effet, sur Internet, il est difficile voire impossible de supprimer des informations nous concernant. En ce qui concerne les sanctions possibles en cas d’infraction au droit à l’image, les participants pensent que la loi est trop sévère sur les peines de prison. Cependant, ils comprennent et acceptent le fait qu’en cas de délit, une forte amende s’impose. Toutefois, cela dépend de l’utilisation qui est faite de l’image. Enfin, il a été évoqué le fait que les stars abusent de ce droit et des recours en justice. Certaines en profitent pour sortir de l’ombre et pour faire un « coup de pub ». Au contraire, certaines célébrités ont été touchées au point de mettre fin à leurs jours, ce qui aurait pu être évité par un meilleur encadrement du droit à l’image.
La vidéosurveillance
D’après les participants du débat, la vidéosurveillance est surtout utile pour identifier la délinquance et assurer la sécurité de la population. C’est donc l’utilité principale qui en ressort. Pour montrer cela, plusieurs exemples ont été évoqués. Notamment en Hongrie où les caméras de surveillance ont permis de retrouver une jeune fille enlevée, ou à New York où des attentats ont pu être détournés. Les caméras peuvent également permettre une meilleure conduite des individus dans la rue et un plus grand respect des lois. En effet, il a été dit qu’en Angleterre, les caméras sont omniprésentes et, de ce fait, la ville est plus propre et il y a moins de délinquance. Tout porte donc à croire que la vidéosurveillance permet de responsabiliser la population. Les étudiants vietnamiens