http://www.ladissertation.com/Histoire-mmation de biens a légèrement reculé. Les dépenses en biens dits "durables" ont augmenté (+0,6 %): +0,1% dans le secteur de l'automobile et +0,3 % pour les achats en équipement du logement, après +1,0 %. En revanche, la consommation en produits alimentaires diminue (-0,2 %), notamment dans les produits à base de tabac.

1.2 Augmentation des prix.

Concernant les dépenses des ménages, on peut remarquer une augmentation de +0 ,4% dans le domaine de l’équipement du logement, +0,3% dans les autres produits manufacturés, +2,9% dans le domaine du textile-cuir mais les plus grosses dépenses des ménages se trouvent dans le domaine de l’automobile, dont il y a une augmentation de 14,9%.

II) Les changements de comportement des ménages :

La crise sans doute mais aussi la prise de conscience d’un autre type de développement, le consommateur cherche à consommer utile et veut limiter les gaspillages. Si certains n’ont pas le choix dans un contexte de tensions sur le pouvoir d’achat, d’autres adhèrent à ces nouveaux comportements d’achat par pure conviction, par exemple pour éviter le gaspillage. Ils entendent ainsi acheter des produits qui durent plus longtemps, plus respectueux de l’environnement, fabriqués localement ou qu’ils jugent vraiment utiles. La crise n’est donc pas la seule motivation des adeptes du « consommer mieux » qui sont, par ailleurs, de plus en plus équipés en nouvelles technologies.

2.1 Augmentation des revenues entrainant une augmentation des services.

Depuis environ cinquante ans, les français ont triplés leur volume annuel de consommation. Une hausse du niveau de vie qui s’est accompagné de profonds changements dans la structure des dépenses. Suite aux Trente glorieuses, les Français ont cherchés à réduire les parts réservées à l’alimentation et l’habillement contre le logement, les transports, la santé, mais aussi la culture et les loisirs. Les services représentent ainsi une part croissante du